Salut les girls !!
Poite en demie-teinte ce matin.
Troisième nuit entrecoupée d'affilée. pas pourrie parce que le Homard arrive à la rendormir mais rien que de savoir qu'elle va se réveiller......Voilà quoi.
Pour celles qui m'avaient demandé : rendez-vous avec nouvelle Madame Sommeil le 3 mai, dans une semaine. En plus, je ne sais plus si je vous avez dit mais c'est elle qui vient à domicile, donc, on aura ce stress en moins...
Je vois bien que je suis rentrée en conflit avec ma fille sur cette question du sommeil, et que ça gâche beaucoup de nos relations, même en journée.
Hier et depuis 2-3 jours, elle est infernale. Ne fait que ce qu'elle décide de faire, dit NON absolument à tout même quand elle pense le contraire, s'oppose sur un peu tout et n'importe quoi..... C'est chiant !! Et usaaaaaaaaant !
Tout est tellement moins évident, plus rude, moins naturel qu'avec sa soeur, j'ai l'impression de moins l'aimer parfois et c'est horrible de ressentir ça....
Mais elle est tellement différente de moi aussi, je suis larguée sur pas mal de ses réactions et comportements.....

Et j'ai peur qu'elle ait raison de nous. De notre couple, de notre famille, de nos capacités physiques à supporter tout ça, etc, etc...
Si elle avait raison d'un de ces trucs-là, le pire c'est que je sais que je lui en voudrais. C'est horrible d'en vouloir à son enfant...
Bref, il serait temps qu'on est un déclic elle et moi, mais lequel ? Et quand ?
Voilàààààà, en demie-teinte on avait dit

Sinon, pour vous raconter hier, l'éveil musical. J'avais espoir que ce soit la séance du "décoinçage" pour n°2. Ben que nenni, elle est restée sur sa position. NON. A tout. Toujours gentiment, elle ne fait pas d'esclandre, et puis personne ne cherche à la forcer, donc ça se passe globalement bien mais elle commence à se faire sa petite réputation parmi les participants.
Enfin, j'exagère, y'a eu deux petits progrès : elle a accepté d'aller sur les genoux d'une autre maman pour une activité et elle a accepté de donner la main et a fait la ronde d'au-revoir à la fin (remarquez, c'est peut-être qu'elle se réjouit à l'idée de partir

).
Ensuite, hier PM ma mère et mon beau-père sont arrivés. Eux et deux Bobby, les camions rouges pétard, porteurs de leur état qu'ils avaient acheté. Deux engins monstreux qui grignotent les 5 mètres carrés d'espace vital qu'il me restait dans cet appart. Je crois que ça aussi, ça a joué sur mon moral. Je me sens envahie !
Les filles ont tout de suite adoré et Lisa n'a plus jamais voulu en décoller. Crise pour aller dans le bain, crise pour dîner, crise pour se coucher, crise, crise, crise, crise, crise.......
Clarinette : si tu montes un club du terrible two, tu m'inscris ? Parce qu'ici, on y est des deux pieds et je me dis que ce n'est que le début !! Courage bichette, on est MZ d'état d'esprit en ce moment !!
Lia : cool tout ce soleil !! D'habitude, je dirais que je t'envie mais là, même pas, rien que l'idée de devoir les gérer tout une semaine durant nos vacances me donne envie de pleurer !!
Dida : c'est aussi sympa de temps en temps d'être toute seule le soir, non ? Moi, quand les filles sont mignonnes et qu'elles se sont couchées sans difficulté, ça me fait du bien de pouvoir larver pendant une soirée....
Fab : ici, si elles vont à la crèche l'année prochaine, je redoute beaucoup les pleurs et cris des au revoir. Je serais bien soulagée si elles disaient au revoir comme les tiennes sans chouiner.
CamRom : ça va mieux ? Toi ? Les filles ?
Et je te comprend parfaitement pour la non-séparation à cause de la garde de tes filles. Franchement, rien que l'idée de ne plus les voir me ferait pleurer là, tout de suite (même si, là tout de suite aussi, l'idée d'avoir rien qu'une semaine toute seule sans avoir deux petites filles à gérer me fait aussi très envie !)
Vivie : finalement, ça donne l'impression que t'es un peu la seule à être en forme en ce moment
Tételle : j'aurais pas de super mots encourageants aujourd'hui, mais bon, sache que tu n'es pas seule
Julie : des bisous pour toi et les triplettes

Allez, je vous laisse, je vais tenter de me remonter le moral en travaillant (peine perdue d'avance, donc

)