.....euh euh.....sinon, ...je pue tu as perdu mon n° ou tu ne veux pas me parler... A MOI
tu sais que je suis là pour toi....ou...fais ta "killeuse" avec tes amants (si ça te va...)
Ma porte t'est ouverte, et tu le sais...et mon "coeur" aussi...mais tu feras comme tu voudras,
tu écouteras qui tu voudras....comme d'hab!!!
Faut quoi.. Je viens te mettre un coup de pied au cul..suffit de demander 

et pour tout le monde : non, je ne suis pas parfait, loin de là, et oui, j'ai une tête de con...
mais j'ai un coeur et ça me fait mal de voir souffrir ma Bambinette  (même si...c'est de ma faute!!!)

je vous laisse philosopler      A dans....quelques mois...pitète

Je te demande pas de me raconter ta vie.. j'en connais assez... juste, si ça ne va pas, chui là.....     et je te laisse avec tes amies...
A la prochaine....dans 6 mois

C'est tout-à-fait ça .....
Merci ma cop, tu exprimes mieux que moi ....

Eh PO : 

   

(et n'oublies pas, dans tout ça, t'es un super papa !)

Tu as tout-à-fait raison, Claire ; quand je lis certaines maman célib qui ont de grosses difficultés avec l'attitude du papa de leurs enfants, je me dis que j'ai beaucoup de chance.

Au moins, la semaine où les zenfants sont avec PO, je ne me pose pas de questions, je sais que mes petits sont heureux, et je peux du coup m'occuper de moi avec zenattitude ......

 

 


Et j'ajoute qu'au quotidien, je vais "bien" : je ne pleure pas, je ne déprime pas, je me marre, je fais des choses, ma vie dans sa globalité me va à peu près, etc ......

J'ai juste par moment (comme l'autre soir), de gros gros coups de cafard, où le mal-être prend le dessus ; et c'est dans ces moments-là que je viens vider mon coeur ici, et que j'ai pris la décision d'aller voir une psy.


Merci encore à toutes (à tous !) d'être là.
 

En fait, je réalise qu'une de mes grandes difficultés, c'est d'avoir passé le dernier mois de sa vie à l'aider à partir, alors que je n'avais qu'une envie viscérale : qu'elle vive.

Mais j'ai entendu et admis le message des médecins, quand ils ont dit que c'était fini, que médicalement elle ne guérirait pas ; j'ai entendu et admis son message à elle, quand elle m'a dit qu'elle ne ressortirait pas vivante de l'hosto.

Et ensuite, pendant plusieurs semaines, j'ai exprimé aux médecins les mots qu'elle ne trouvait pas : aidez-la au maximum à mourir sans souffrance.
Je lui ai exprimé à elle : tu peux partir, maman, moi ça ira.

Alors que NON ! Je ne voulais pas qu'elle meure !!!!
Et je lui ai même proposé de ne plus venir la voir (3 jours avant sa mort), si c'était plus facile pour elle, car elle disait qu'elle avait besoin de se détacher totalement de la vie pour partir tranquille (elle a d'ailleurs hésité, et a fini par me répondre : "nan, toi ça va, tu peux continuer à venir")

Et tout ça me pèse ......



En fait, je commence mes séances psy avant mes rdv, moi, c'est cool et ça me revient moins cher ..... (ben faut garder de l'humour hein !)

Désolée de vous charger de toutes ces émotions, ne lisez pas si c'est trop dur.