Ma pauvre plein de bibi remonteur de moral
Tu n'a pas d'aide (genre ADMR), ca pourrai te soulager un peu?
T'es puces sont toujours a un bib toutes les 3h??

Coucou,

Je voudrais savoir: parmi les mamans allaitantes au sein, avez vous donné des tétines?

Et: les balancelles (j'en aie pas) me semble être à partir de 6 mois, en avez vous des spéciales pour les 0 - 6 mois?

Ça c'était les choses importantes, maintenant je résiste pas à vous raconter ma journée d'hier: j'ai assuré , je suis trop fière!  
Hier j'avais les 3  toute seule toute la journée pour la première fois, autant dire que je me sentais pas fière!  Il faisait beau et j'avais des vaccins à aller chercher à la pharmacie. A 11h00 du matin les petites étaient préparées et ma grande habillée, coiffée, dents propre et chaussée, bref toutes prêtes (moi aussi)  à partir. Les jumelles ont eu faim, après les tétées et les changes il était midi. J'ai mis de quoi grignoter dans un sac plastique, un bouteille d'eau et roule titine, direction la pharmacie puis le parc pour enfants. Avec ma grande on a pique-niqué au parc, elle a bien joué, sur le retour, en longeant la rivière une des jumelles a eu faim: je me suis posée 1/4 d'heure sur un banc pour la rassasier et j'ai envoyé la grande en mission "tu me cueille des fleurs": elle a trouvé des pissenlits et des pâquerettes. Puis on est rentrées à la maison c'était environ 14h00. Les jumelles étaient calmes et endormie (je les aient laissées dans la poussette dans le salon, puis j'ai mis la grande à la sieste. La jumelle qui n'avait pas mangé s'est réveillée et a eu faim, pas de problème, j'ai pu câliner.... l'après midi est passée vite, la grande s'est réveillée de la sieste, les 2 jumelles ont eu faim en même temps: bref il a fallu assurer le gouter de la grande et faire la TT double, puis les jumelles ont commencé leur crise du soir je les avaient toutes les  2 sur les genoux, j'ai demandé à ma grande d'aller chercher des livre et je lui ai lu tout en berçant les 2 petiotes. Quand Zhom est rentré tout était calme, il restait à faire le diner. Pas mal non?
Bon la nuit a été merdiq****, mais on peut pas tout avoir  

voilà! trop fière!

Marinette: je reviens sur ton post sur les pollution, très instructif merci, ça me rappelle pourquoi on est passés à l'alimentation bio il y a 4 ans! Et aussi: félicitation d'avoir pris tout ce temps pour m'expliquer.  

Karine: moi non plus j'arrive pas à laisser pleurer quand il y a des gros sanglots et qu'on sent qu'ils/elles sont angoissés et qu'ils/elles s'étranglent dans leurs pleurs. (sauf quand je suis sous la douche  ... ça me rassure: je sais que tant qu'elles hurlent elles sont toujours vivantes!   )  

Paprika, j'ai vu des modèles où ils étaient quasis assis comme dans les coques de voiture et on dit que c'est pas bon pour le dos alors je sais pas trop quoi croire.  et puis j'en ai vu où c'était écrit : a partir de 6 mois. Parce que le but des balancelles c'est bien qu'ils soient bercés en vue d'un endormissement?

Merci speedy,

Ici pas de tétine pour l'instant mais je me pose des question...

Cool si tu as trouvé une solution.

Ben si ils y restent longtemps quand ils dorment, les miennes font de très bonnes siestes la journée: jusqu'à 4h30.
( oui je sais c'est cool ... mais c'est pas en même temps!)
Je me dis parfois que si j'en avais qu'une je m'ennuierait!  OK j'ai rien dis, je sort!

Impa: Je cromprend que tu sois crevé et que t'en puisse plus. Avec 3 bébés ca doit pas etre simple a gerer.

Karine: Laisse les pleurer. Ne te met pas autant la préssion. C'est sur, ca ne sont a proprement parler des caprices puisqu'ils sont trop petits.
Mais serieusement, est-ce que réelement c'est une question de vie ou de mort que tu les aient ds les bras?
C'est vrai, ils preferent surement. Mais est-ce que c'est un besoin fondamental comme manger ou dormir?

J'étais comme toi pour ma 1ere et j'en ai baver a pratiquement faire exploser mon couple parcequ'on n'avait plus du tout de temps ensemble et que je n'arrivai pas a prendre ma douche, ni a faire koi que ce soit ds la maison. Du coup j'étais épuiser et enerver. Pourtant je n'en avais qu'une.

Je m'appretais a recommencer a l'iddentique avec les garçons.
Et puis, qd je suis rentrer de la mater, le 1er ou 2eme soir en donnant le bib, je suis tombé sur une émission sur les enfants cambodgiens qui vivent ds la rue, sont nus, mange les reste des poubelles et tri les ordures  .

J'ai regarder Timothée dans son joli lit, tout propre, avec plein de doudous, un mobile qui fait de la music au dessus de la tete, au chaud sous sa couette,  qui pleurai parcequ'il n'avait pas sa tétine. j'étais en train de donner le bib a Léo.
Le contraste était trôp frapant. Ca a été un choc.

Et je me suis dis: Je suis en train de lui donner des besoins qu'il n'a pas au départ. Comme ds notre société actuelle où on nous fait croire qu'on a tel ou tel besoin, alors que c'est pas vrai.
 (je ne dis pas que l'idéal c'est la vie des bébés cambodgiens, loin de là. Mais seulement qu'ils ne faut pas non plus en faire trop. Il faut savoir remettre les choses a leur place, et ne pas leur creer de besoin inutile)

A koi étais-je en train de les habitué???

Et mes besoins fondamenteaux a moi??? Manger, dormir qui sont primordial j'en faisais koi?

J'ai donc décidé de ne plus me lever que 5*par nuit pour la tétine, apres, j'éteignais le babyphone et je dormais.

Et ensuite, a chaque fois qu'ils pleuraient et que je ne pouvais pas répondre a leur besoin, je repensais a ces enfants cambodgiens, et je me disai que mes enfants étaient loin d'etre malheureux, que ce pk ils pleuraient était loin d'etre tres tres tres tres important. (bien sur dès que j'avais enfin le temps, j'allais remettre le mobile en marche ou la tétine ds la bouche)

Et depuis, ils ont pris l'habitude de ne pleurer que pour des choses fondamental: ils ont faim ou un rot de bloquer.

Je ne dis pas que c'est LA facon de faire adéquat.
Je dis juste que je pense avoir fait de GROSSES erreurs avec ma fille. Et que mes bébés meme si je les ai souvent laissé pleurer, n'en sont pas plus malheureux.
Qu'il faut savoir faire la part des choses entre ce qu'ils aimeraient et ce qui est réelement indispensable.