Pétition pour l'abolition des chatiments corporel sur l'enfants

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PetitPoney:
Merci Véro de nous avoir raconté tout ça. J'espère que ça t'a également soulagé un peu de te débarrasser (en partie au moins?) de tous ces faits.

Je ne sais plus qui en parlait plus haut, que parfois la violence/maltraitance psychologique peut avoir des effets bien pires qu'une fessée. Je suis tout à fait d'accord. Et ici je pense que le débat va plus loin que fessée/pas fessée, on essaye de trouver des solutions pour éviter d'y avoir recours.

Par contre je ne comprends pas bien: tu en déduis quoi exactement? Tu crois que ce qui s'est passé pour toi entre dans le cadre de la violence psychologique?

Isazou:
Hélène je suis bien d'accord avec ce que dit pampers !! ;D ;D et il y a plein de choses que je fais parfois, pas toujours, parfois plus que d'autres.

Véro, merci pour ton témoignage, je comprends qu'il aie été dur à écrire et à relire...

Il va dans le sens de ce que je disais aussi dans les pages précédentes : la violence morale peut être beaucoup plus destructrice que la violence physique...
Mais au final, il a été reconnu que Laurane avait "menti", non ? Tu n'as jamais pu en reparler avec elle ?

Lauver95:
j'en conclue que j'ai "maltraité" mes enfants indirectement par les violentes disputes avec mon (ex)mari lors de la séparation il faut dire qu'entre le moment où il m'a annoncé qu'il me quittait et son départ de la maison puisque je ne suis pas partie il s'est passé 9 mois et par mon comportement suicidaire à l'époque qui a duré quelques années où je ma faisais du mal mais aussi aux enfants même si je n'en étais pas consciente
même si cette maltraitance je n'étais pas seule à la faire subir aux enfants je m'en sens  responsable (et lui m'a largement aidé à le crore puisqu'il ne s'est pas senti concerné par l'état dépressif de Laurane et il m'a entièrement rejeté la faute)
cela a plus marqué la dernière et en a découlé son accusation (et son père a enfoncé le clou)

alors je prefère donner une petite fessée comme je les fait pour les 3 autres avant que ça ne dérape à cause du divorce
comme dit l'expert psy "laurane a grandi dans un environnement qui a été suffisamment narcissisant pour elle jusqu'à la séparation"

non je n'ai jamais pu en reparler avec elle car jamais revu
l'expert a préconisé qu'elle est un suivi sur le plan psychologique différents des 2 précédents
mais même avec l'autorité parentale conjointe je ne sais pas si elle a eu ce suivi
et j'ai déjà demandé à mon ex mais sans réponse de sa part

PetitPoney:
Je crois qu'il y a quand même un fossé entre donner une fessée et une "maltraitance" psychologique sur du long terme (qui plus est, pas voulue!).

Par contre ce qui me gêne (je sais pas comment dire autrement, ce qui "m'interpelle" peut-être ;)) un peu dans ta façon de procéder, c'est que tu dis donner la fessée plutôt que ça ne dérape etc. Je pense déjà que l'un n'empêche pas l'autre, et ensuite que ce n'est pas parce que tu ne donnes pas la fessée que tu ne vas pas les maltraiter d'une autre manière. La fessée n'est pas un remplacement. Ce fil est aussi là pour ça: essayer de trouver une alternative à cette "maudite" fessée ;D
Ce qui m'intéresse dans cette recherche, c'est qu'on s'aperçoit que, en fait, tout le problème vient de nous, parents, et souvent de notre propre enfance. Je trouve que c'est un travail passionnant d'éduquer ses enfants et de les voir réagir selon notre comportement. Et je trouve que, personnellement, ça m'apprend énormément sur moi-même.

Dans ton cas, je ne sais pas si tu es encore suivi par un psy, mais si oui lui as-tu parlé de tout ça et de ton sentiment de culpabilité? Je ne sais pas si on peut vraiment parler de maltraitance, si tu étais dépressive, ce n'était pas exactement volontaire, et puis j'imagine que ton ex y était aussi pour qqch...

Lauver95:
je rectifie la phrase
alors je prefère donner une petite fessée comme je les fait pour les 3 autres (comme je le faisais avant que ça ne dérape et que je dérape en faisant ma dépression et mes TS à cause du divorce ce qui a entrainé une maltraiance indirecte)
je ne suis plus suivi par un psy mais je lui en ai parlé et même si pas moment j'en ressens un peu le besoin d'en parler
je culpabilise moins qu'avant et maintenant je sais que je ne sui pas la seule responsable de cet état  de fait mais il ne le jamais admis et je ne sais pas en quel terme il parle à Laurane de moi

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