Est ce que derrière tes lettres de motivation, tu penses bien a rappeler pour savoir s'ils ont bien recu ton cv, et si actuellement, ils ont des besoins.
Rien que ca, ca te mets en haut de la pile 

C'est pas bête.
Pour le moment, je réponds surtout aux annonces de Pôle Emploi, du coup, bien souvent les coordonnées sont très limitées (je ne sais pas toujours à qui j'écris) (ni vraiment pour quoi exactement, leurs annonces sont tellement vagues! Difficile de faire des lettres très personnalisées dans ces cas là  )
Merci pour ton aide

J'ai pas encore vu mon conseiller pole emploi (en novembre normalement si j'ai toujours rien trouvé).
Quant aux candidatures spontanées, j'essaie de pondre une lettre de motivation un peu fun pour postuler à un poste d'auxiliaire de puer en crèche (sans diplôme!) pour essayer de me faire un peu remarquer. J'ai peut-être pas de diplôme mais j'ai quand même pas mal de compétences, ce qui me manque je peux l'apprendre très vite.
Et puis je vais fouiller du côté des maisons de quartier pour un poste d'animatrice (parce que c'est là dedans que j'ai le pluss d'expérience. En général, quand je postule pour des postes d'animateurs, j'ai pluss de choix que l'employeur  ).
Mais bon, tout ça c'est un peu HS par rapport au fil de discussion.
Merci pour ton aide Bloody Va travailler un peu !

Anna, je n'y connais rien, mais je suis persuadée qu'un poste dans une structure publique (crèche) n'a aucune chance d'être donnée à une personne uqi n'a pas les diplômes requis...c'est comme si tu voulais postuler pour un poste d'infirmière sans avoir le diplome!! enfin, je me trompe peut être; je suis persuadée que tu serais 1000 fois plus douées que certaines aux, mais a mon avis, le césame, c'est le bout de papier!!
sinon pour le rappel, je pense que laisser une semaine, c'est très bien; ça leur laisse le temps , sans en faire trois tonnes.
on m'a toujours conseillé de faire des candidatures spontanées: 90% des recrutements (je dis le % au pif) se font par cette voie contre seulements quelques un par annonce (marché caché)...

suis archi nase; j'ai chopé un genre de crève/sinusite, et j'ai eu une méga insomnie...
je m'hydrate, je pshitte dans le nez, et je corrizalia, mais pouru le moment, j'ai la tronche dans un étau!!

bisous les cocottes

Je pense Anna que ce n'est pas que ton amoureux qui semble mourant quand il est malade, chez nous c'est tout pareil.
Je pense que c'est les hommes en general!!

Je pense que tu peux faire la formation pour travailler dans une creche, ma voisine du dessous à travaillé en creche et maintenant elle est ATSEM sans avoir les diplome, juste car elle a travaillé en creche.
Il faudrait que tu vois avec le pole emploi pour les formation non???

Adultes, handicapés ou non. Si c'est pas un internat ça m'arrange.
Surtout, surtout surtout pas de maison d'enfants, et encore moins avec des ados.

Merci pour les conseils

Les filles...peut être allez vous m'aider à y voir plus clair...parce que je ne sais plus comment réagir...je ne sais pas si je vais réussir à être très claire , mais je vais essayer; désolée ça va être long...

le problème concerne mister nikito.
Voilà; quand on s'est connus, on sortait de la même école d'ingénieur, on a tous les 2 trouvé de bons boulot, à salaire et responsabilité a peu près équivalentes....très rapidement, il a pris de l'avance: je pense qu'il est brillant, travailleur et que son "patron" de l'époque l'avait pris sous son aile, faisant qu'il évoluait très vite, sans avoir jamais à négocier des augmentations et promotions; tout se présentait super bien pour lui, et il le rendait bien à la boite; moi de mon côté, j'ai rapidement été "ralentie" par les grossesses, mon manque de motivation, et peut être de talent (sans le vivre comme tel, puisque j'ai de toute manière bcp moins d'ambition, ça ne me dérangeait pas)...et puis après la naissance de numérobis, on a saisi une opportunité de son boulot pour partir à l'étranger; j'ai donc pris un congé parental pour pouvoir le suivre sans démissionner;

 je me suis donc retrouvée sans m'y préparer, femme au foyer; j'ai mis beaucoup de temps à m'y faire, beaucoup de temps  à assumer que l'essentiel des corvées étaient désormais pour ma pomme...que tout ce qui tournait autour des enfants et de la maison relevait de mes compétences; mais je m'y suis faite, et j'ai finalement tiré parti de ma situation de femme d'expat: du temps, de l'argent, des loisirs, what does the people ask, n'est ce pas? donc j'ai fait ma desperate housewife, version gabrielle (sans le jardinier quand même!!), et tout roulait; en plus, il ne rentrait pas tard car boulot moins énorme; donc on avait tout: la vie de famille, l'aisance matérielle, les loisirs.
et puis on est rentrés, et je suis tombée enceinte des jumelles. son poste est devenu un GROS poste, et depuis ce moment là notre vie quotidienne est devenue absurde...et ça me fait souffrir; je me suis sentie incroyablement seule pendant la grossesse, délaissée, et isolée; et depuis la naissance, c'est pire: je gère tout, toute seule; il est sorti de ma vie quotidienne, et j'ai beaucoup beaucoup de mal à l'y réintégrer pendant le WE...

mon dilemne est le suivant: d'un côté je lui en veux de n'avoir pas su freiner, d 'avoir été aussi absent pile la pire année de ma vie familiale (sans compter que ce n'est pas près de s'arranger); je lui en veux de m'avoir laissée couler, sombrer parfois dans un état quasi dépressif; je voudrais lui dire que je suis furieuse qu'il n'ait pas changé son quotidien d'avantage pour prendre lui aussi cette vie de dingo à bras le corps; j'ai l'impression d'avoir été seule en état de survie depuis 1 an....
mais d'un autre côté, qu'est ce qu'il aurait objectivement pu faire? je suis consciente qu'il n'aurait pas pu envoyer bouler son chef, qu'il accepté le job en connaissance de cause, que la rémunération qui va avec nous a permis d'acheter une grande maison  pour notre grande famille, me permet de ne pas bosser ET d'avoir une nounou...et tout ça, pour le moment, je ne veux pas y renoncer...alors je culpabilise de lui en vouloir et en même temps je trouve mon désarroi légitime...

je ne veux surtout pas le faire  passer pour le père des années 60, parce que ce n'est pas du tout lui; dès qu'il arrive, il se met les mains dans l'évier pour en faire un max...mais il est investi à 1000% dans son boulot; il a une pression de dingue, a à peine le temps de déjeuner, voire d'aller pisser...alors je me trouve dure de lui en foutre plein la tronche sur le fait qu'il ne participe à rien de notre vie de famille....
je me sens complètement bloquée, là....lui veut continuer de progresser, il est sur une pente ascendante, avec une brillante carrière devant lui; il dit qu'il voudrait avoir plus de temps avec nous, rentrer plus tôt, mais ça sonne comme un espèce d'idéal virtuel, comme s'il disait: "purée, j'aimerais bien gagner au loto"...donc, sans trop se donner les moyen d'y arriver quoi...
et moi je ne sais plus ce que je veux...le pousser à changer de boulot? le pousser à prendre un boulot pépère? je sais qu'il y sera malheureux, je sais qu'il se le reprochera, et me le reprochera un jour...sans compter que je ne vois même pas quel type de boulot pépère on peut faire après un parcours "brillant"...
alors qu'est ce qu'on fait maintenant??? je continue de traçer ma route avec les 4 loulous, en essayant de le faire rentrer dans notre routine quand il est là?? où j'essaie de me battre pour qu'il fasse partie de notre quotidien, tout en sachant que je ne vois absolument pas comment il pourrait être là à l'heure où il se passe quelque chose...
là il est rentré à 21h30, repart demain matin à 7h30 et ne rentre pas diner; il a même réussi à envoyer 2 mails en bouffant....

désolée du pavé, désolée du côté "pauvre petite fille gâtée"...mais je manque de recul, je soufre, mais ne suis pas sûre de la légitimité des reproches que je lui fais...
si vous avez un avis sur la question, sans trop charger la mule, en essayant d'imaginer que malgré ce que je dis de lui, c'est un mec profondemment bon, qui essaie de bien faire, de trop bien faire...ben ça pourrait m'aider à avoir une discussion avec lui qui soit un peu constructive, et qui ait une chance d'aboutir à un semblant de solution...
merci les filles

Si j'ai bien compris Nikita, il te manque. Pourquoi ne pas lui dire ça tout simplement?

C'est une situation délicate. Soit il poursuit sa carrière soit il est pluss souvent à la maison. Malheureusement, les deux sont difficilement compatibles.

Pour avoir rencontré un ami de l'Amoureux à Londres qui vit dans un appart immense intra muros, près d'un parc. Il a une petite fille qui est gardée par une nurse anglaise. Les deux parents ont des postes très hauts placés et finalement ne voient jamais leur fille qui a deux ans avait pas mal de retard dans son développement (ceci explique cela?).
Alors certes, ils décident de prendre des vacances sur un coup de tête et partent une semaine au Kenya comme on irai à la plage la plus proche.
Mais ce n'est pas la vie que moi je souhaite. J'accepte de galérer et d'avoir peu d'argent, mais un peu de temps pour moi et ma famille.

Ce n'est apparemment pas le choix de ton mari.
A propos de vacances, comment il est pendant ses vacances? Présent?

Je pense que si tu as besoin de lui exprimer ton ressenti, fait le comme tu viens de nous le faire. Sans critique, sans jugement, sans colère. Juste lui dire que tu as des difficultés à vivre cette nouvelle vie de famille, que tu as l'impression qu'il passe à côté de toi et de ses enfants sans vous voir, et qu'il te manque. Dis-lui ce que tu ressens sans l'accuser. Même si vous ne trouvez pas de compromis (ce qui risque d'être compliqué), au moins il t'aura entendu et peut-être sera t-il un peu pluss présent dans sa tête quand il est à la maison?

Et toi? De quoi as-tu envie pour ta vie professionnelle?