Bonjour tout le monde.
Après mes deux premières expériences de grossesses menées à terme malgré quelques alertes, je confirme les propos tenus ici : le repos est primordial. C'est autant que possible allongée. MAis, on peut quand même se laver, prendre ses repas. j'allais aussi aux préparations à l'accouchement en piscine (c'est pas vraiment du sport, et comme le ventre est soutenu par l'eau, on ne fatigue pas)
Autre élément (mesurable cette fois): pour cette grossesse-ci, à 23 SA, le col était long de 28 mm seulement (donc arrêt de travail, alors que je me sentais en pleine forme). à 25 SA, il s'était allongé jusqu'à 35 mm. conclusion : le repos pemret donc de diminuer les menace d'accouchement prématuré.
Sinon, pour réagir à l'artcile que cheops signalait, l'allusion au fait que les arrêt de travail pour les mamans coûte cher m'a fait sortir de mes gonds: une maman, c'est indemensé au maximump au niveau du plafond sécu, (qq 60 ? par jour, je crois). Combien coûte une journée d'hospitalisation pour un trés grand préma : beaucoup plus. je crois avoir lu qq part que ça coûtait plusieurs milliers d'euros. donc mathématiquement, même si un repos prescrit ne prévient qu'une petite partie des accouchements prémas, ça revieent toujours moins cher (et là on ne compte pas les opérations supplémentaires et les séquelles éventuelles qui laisse un certain nombre de prémas handicapés à vie).
Désolée d'être si virulente, mais les économies de bout de chandelles, ça m'énerve.
PS Aude : à moi aussi, on m'a fait des reflexions pas très sympa: la grand-mère de mon homme a eu des jumelles, et elle avait travaillé jusqu'à la fin (naissance à terme), avec une aînée de 11 mois à la naissance des petites, un mari entrepreneur agricole et une exploitationlaitière à faire tourner. en gros, j'avais vraiment l'impression d'être une moins que rien. Je me suis consolée en me disant qu'à l'époque, lorsqu'on faisait des prémas, la plupart du temps ils étaient perdus et qu'elle a probablement eu beaucoup de chance. Moi, je préfère ne pas trop laisser faire le hasard (il ne fait pas toujours bien les choses
)
Désolée d'avoir été si longue, mais pendant que vous lisiez, il y a des chances pour que vous vous soyez reposée