TOME 3 des octobrettes 2010: Les petites pousses ne disent pas "pouce"
**Boud**:
En parlant de douleur sans fièvre, Rémy depuis 2 jours se plaint d'avoir mal............................ au pouce !! :o Au début ça me faisait sourire, j'avais l'impression qu'il exagerait,puis je l'ai vu se tordre de douleur avec des Aïe Aïe Aïe, puis en venir aux larmes ??? Ils se rongent les ongles, je crois qu'il est allé trop loin parce que je ne vois rien. En mettant un pansement bien serré ça l'a soulagé. C'est étrange de pleurer à cause d'une douleur à un doigt ???
Je reviens de l'école , j'ai marché sous la pluie , j'suis trempée, et l'instit de Bastien est absente deux jours, une autre instit l'est aussi, pas de remplaçant. 2 instit absents sur 4, ça fait beaucoup ! J'ai donc repris BAstien, je ne vais pas surcharger une classe qui est déjà très chargée...
☆Chouss☆:
Je ne porte aucun jugement à partir du moment où l'on prend les choses en mains ; en revanche, ce que je ne supporte pas, c'est qu'on s'en remette à la fatalité et qu'on demande aux autres enfants d'adapter leur comportement pour éviter de déclencher les foudres de l'agresseur.
À mon sens, c'est ne rendre service ni à l'agresseur, ni à l'agressé.
Bien sûr que certains parents sont gênés mais on ne peut ignorer qu'il y ait des parents à qui cela passe 30000 pieds au dessus de la tête voire même que ça amuse ou énorgueillisse.
Quand on se met à la place du parent dont l'enfant est violenté à l'école et qu'on imagine que c'est notre enfant qui rentre à la maison avec la trouille d'y retourner, ça retourne les tripes et je pense que peu de parents pourraient laisser faire en justifiant que le pauvre agresseur a certainement une bonne raison.
C'est mon point de vue. Désolée si il ne plait pas.
☆Chouss☆:
Sur ce, je vais bosser. Il paraît que je suis payée pour ça :P
isabelle90:
Citation de: Chouss le 29 Novembre 2012 à 09:18:08
Je ne porte aucun jugement à partir du moment où l'on prend les choses en mains ; en revanche, ce que je ne supporte pas, c'est qu'on s'en remette à la fatalité et qu'on demande aux autres enfants d'adapter leur comportement pour éviter de déclencher les foudres de l'agresseur.
À mon sens, c'est ne rendre service ni à l'agresseur, ni à l'agressé.
Bien sûr que certains parents sont gênés mais on ne peut ignorer qu'il y ait des parents à qui cela passe 30000 pieds au dessus de la tête voire même que ça amuse ou énorgueillisse.
Quand on se met à la place du parent dont l'enfant est violenté à l'école et qu'on imagine que c'est notre enfant qui rentre à la maison avec la trouille d'y retourner, ça retourne les tripes et je pense que peu de parents pourraient laisser faire en justifiant que le pauvre agresseur a certainement une bonne raison.
C'est mon point de vue. Désolée si il ne plait pas.
chouss c'est ce que j'ai voulu exprimer aussi . bon courage pour le boulot !!
isabelle90:
Citation de: Boudiounette le 29 Novembre 2012 à 08:38:49
Isa, c'est peut être des aphtes ?
boud peut être , mais le pauvre il trop mal pour que je le laisse comme ça . le voilà qui pleure devant sa compote car ça lui fait trop mal pour la manger :'(
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