Coucou,
Comme Rosy, cela me renvoie à une histoire un peu similaire...
Où quand un collègue de classe te suit partout, dans le métro, dans tes activités extra-scolaires, qui reste tapis au pied de ta porte toute une nuit (c'est arrivé 3 ou 4 fois), et qui va jusqu'à rencontrer tes parents en te suivant dans le train du week-end

. Remarque, il n'a pas été déçu sur ce coup là

.
Et pourtant, ma parole, je n'ai jamais insulté en public une personne comme j'ai pu l'insulter, lui

.
Ni de lui montrer que j'avais d'autres relations amoureuses (j'étais très libre, à l'époque

).
J'ai même pris peur, un moment, qu'il en vienne aux armes à feu

(mais là, je commençais aussi surement à fabuler...)
ça a duré plus d'un an, jusqu'au stage de fin d'études, que j'ai fait loin de Paris, destination tenue secrète

.
Bref, tout ça pour dire que oui, le but du jeu chez le harceleur pour avoir gain de cause, c'est de te faire culpabiliser... Et vas-y que dans ces lettres enflammées que je lisais au début, il y a avait du "tu me rends malheureux", ben voyons

, "c'est pas de ma faute si c'est toi que j'aime..." parce que c'est de la mienne, peut-être, d'être comme je suis

.
Garde la tête haute et soit toi même

. LE responsable, qui t'as rendu, toi, malheureuse, c'est
lui !!!
A +