Bon en fait je n'ai pas été très claire.

La question est-ce que vous avez le sentiment qu'on est plus vite mis à l'épreuve, ou questionnés sur nos caacités de parents, parcequ'on a des jumeaux?
Dans le cas de ma famille, clairement, oui.
En annonçant la gémellité de ma grossesse, j'ai de suite était cataloguée vers de l'ingérence. A leurs yeux, un singleton = tsunami de couple (mais c'est aussi, je pense, comme cela qu'ils ont vécu leur propre parentalité). Des jumeaux

. Chez notre anarchique de fille

.
Du coup, tous nos choix de couple ont été mis à caution

. Et la gémellité n'a rien arrangé (quoi, ils partent en roulotte (multivan

) dans les pyrénées avec des jumeaux de 5 mois

). Mais comment vous aller les nourrir (ils sont aux seins, maman...), et pour dormir (on fait déjà du cododo....), et si ils tombent malade (ya des médecins en France

))
Super souvenir impensable pour eux... Mais je me rend compte aussi que ce n'est pas une aventure que tous peuvent envisager

.
Comme pour l'envie d'un troisième... En fait, mes parents retransmettent sur moi leur propre peur, leur propre limite. 3 enfants, ma maman l'a toujours dit, ce n'était pas envisageable pour eux. Leur couple avait déjà du mal à tout concillier avec 2 enfants

(maman, si tu me lis, ce n'est pas un reproche

, chacun à ses propres limites/exigences).
Je crois que le noeud de l'histoire est là : la gémellité face aux limites de chacun. Mais comme dit N : Nous avons aussi en nous des ressources pour faire face !
A +