Truc et astuces pour garder la zen attitude dans les moments critiques
Bergeronnette:
A propos de vrais/faux embrouille ce matin avec deux chi***es qui me prenaient pour une co**e avec des explications à la noix, genre vrai = même poche. Bref clouage de bec, quoique elles faisaient encore des prout-prouts quand je partais. C'est rare que ça m'arrive mais là elles en tenaient une couche! bref c'est pas le fil
Tiens j'ai parlé de prouts ;D ;D ;D.
Non mais je n'ai jamais été contre les pipi-caca-popo! Je ne voulais pas te contrarier P'tite Lilli! ;D ;) Car le message ne portait pas essentiellement la dessus. Disons j'ai remplacé la scato par autre chose...
...
Bon les filles désolée je ne suis pas venue ici depuis 4 jours je crois. Il me fallait le temps de digestion après nos discussions. J'ai essayé d'adapter à mon quotidien. (en plus le soir je suis KO, donc pas moyen de fofoter longtemps).
Bilan mitigé. J'ai commencé par relacher la pression sur le gamin. Mais était-ce la bonne chose à faire? Car au final j'ai eu des jours où ça s'est très bien passé certes, même fatiguée. J'ai trouvé des ressources pour éviter les clashs. Mais ensuite, le gamin sentant que je lache du leste, se met à dépasser les limites et donc au bout d'un moment on rentre à nouveau dans une relation conflictuelle où je finis par crier. Ca s'est dans le général.
Sinon, je retiens la ballade comme transition entre l'école et la maison. J'ai lu que d'autres faisaient comme ça. C'est très bien. On prend tous l'air et on décompresse. On est prêts pour attaquer tranquillement la soirée. Par contre cet après midi je n'ai pas eu le temps de le faire le gamin a pété les plombs à la sortie de l'école. Crise parcequ'il voulait suivre une copine! ::) ::) En fait il était super fatigué, changement d'heure oblige.
Donc je l'ai pris dans un coin dans une ruelle, et je lui ai demandé fermement d'arrêter de pleurer. J'ai du parler fort car il pleure très fort, mais je n'ai pas hurlé. Je n'ai pas mis de fessée! Le regard d'autrui presque rien à faire. :P :P
Il a finit par se calmer. J'estime que les discussions portent leurs fruits. Mais il y a encore du chemin et du réequilibrage!
:-*
Grenadine:
Bravo Bergeronnette! Cool pour la balade après l'école comme sas de décompression! Et super pour ta mise au point dans la ruelle lol, j'imagine que ça n'est pas évident de gérer son énervement + celui de l'enfant + le regard désabrobateur ou critique des autres. Je verrai ça bientôt :P
A propos du livre "il n'y a pas de parent parfait" d'Isabelle Filliozat, je letrouve vraiment bien. Dans la même veine que "au coeur des émotions de l'enfant", mais plutôt centré sur le parent: dans quelles situations s'éloigne-t-on du parent qu'on voudrait être (quand les enfants chouinent, se bagarrent, s'opposent)... ? Qu'est ce qui explique ça dans notre vie présente (travail, soucis, fatigue, frustration...) et dans notre vécu? Ca parle beaucoup de l'influence de notre propre enfance et de l'éducation qu'on a reçue sur celle qu'on donne à nos enfants. L'idée est d'identifier toutes les choses qu'on fait inconsciemment, ce qu'on reproduit de façon mécanique, pour pouvoir changer.
Extrait de la présntation de l'éditeur: "Parce qu'au-delà des théories il y a notre inconscient. Nos blessures, notre histoire. On ne s'aime pas toujours dans son rôle de parent. On se surprend parfois à agir comme sa propre mère alors qu'on s'était promis de faire le contraire. Nous aimerions ne trouver en nous, pour nos enfants, qu'amour et tendresse. Ce n'est pas si simple. Face aux débordements et aux transgressions de l'enfant, le parent se sent parfois démuni, exaspéré. L'objet de cette passionnante enquête d'Isabelle Filliozat est de mieux comprendre ce qui se joue en nous lorsque nous hurlons contre Paul ou nous trouvons incapable de dire non à Julie. Elle propose des pistes et des exercices pratiques pour ne plus se sentir coupable de ne pas y arriver... Afin de retrouver la liberté d'être le parent que nous désirons être. "
opaline18:
Bonjour,
J’aime bien les idées que j’ai lues ici …. Pas toujours facile de rester zen … Comme toutes les mamans, il m’arrive de craquer …
Et bien entendu, c’est toujours quand on est fatigué, pressé, qu’on a plein de choses à faire que nos mômes ont l’air de faire exprès de prendre leur temps et de nous faire répéter et tourner en bourrique …
Vous avez sans doute remarqué que c’est toujours quand on est au téléphone qu’ils ont besoin de nous ou quand on parle avec quelqu’un qu’ils veulent aussi nous parler …
L’un de mes trucs quand ils deviennent trop insupportables (surtout mon fils), je prends le temps d’aller faire une balade avec eux (l’idée a déjà été donnée). On habite une voie sans issue, j’avance à petits pas pendant que mon loustic va tout au bout le plus vite possible sur son vélo, il revient vers moi et repart. Ainsi de suite pendant mon aller et mon retour à pied, ça lui permet de faire plusieurs aller/retours.
Lui est content et se défoule pendant que moi je retrouve mon calme. Donc quand on rentre, il joue tranquille et moi je peux faire mon taff … Et ça vaut mieux que de lui crier dessus parce qu’il réclame mon attention.
Vivement que le beau temps revienne, dés le retour à la maison, il va se rouler dans l’herbe. Il revient cracra mais les joues rouges d’excitation et d’un calme !!!
Je pense aussi qu’il ne faut pas culpabiliser quand on les laisse de temps en temps devant un DVD …. Il m’est arrivée – surtout quand ma file était petite – de la coller devant la TV pendant sur je pionçais comme une brave (il faut dire que je bossais de nuit). Et même pas une once de culpabilité.
De toute façon, le manque de sommeil me rend aussi exécrable … En plus, quand on sait que le manque de sommeil produit des effets similaires à l’ivresse (si si, c’est prouvé et je m’en suis rendue compte moi-même lors de mes nuits de boulot)
J’adhère à fond aussi au moment d’échange le soir. Où on se parle et où on se dit combien on s’aime et combien on compte l’un pour l’autre. Ca efface les disputes et les rancœurs au lieu de laisse monter un abcès qui ne sera jamais crevé. Et chacun en portera le poids toute sa vie
Dalma : Pour les pipi-caca-boudin-prout, ma fille (10 ans !!!) participe allègrement …. On laisse faire, ça les défoule et c’est normal de passer par cette phrase. Ils revisitent toutes les chansons du moment avec ces mots là … cool … La limite, c’est quand on est en voiture sur un long trajet, au bout d’1/4 d’heure, on met les holà quand même ….
Je ne me leurre pas sur les enfants : jamais un gros mot devant moi, mais derrière mon dos …. Je ne sais pas ….
Voilà ma contribution …. Je cherche autre chose …
Opaline
Val (J.Y.R.P.):
pour calmer les enfants, je prend vraiment le temps de jouer avec eux
c'est à dire, se mettre autour de la table et sortir un jeu de société, un jeu de carte (pour jouer à la bataille) , les dominos... un truc rapide mais JE RESTE à la table .Je ne pars pas préparer une lessive ou le repas, je bloque les 10/15 mn pour eux et ça marche : ils sont calmes et au bout de ce quart d'heure, je peux reprendre la popotte ou autre et eux sont plus calme
Pour les gros mots, ils sont interdits mais si je l'entends alors que l'enfant l'a prononcé dans sa chambre, je ferme les yeux (les oreilles), si j'entends à répétition, je rappelle la règle des gros mots interdits . Nous avons une échelle des gros mots : les gros mots (plus ou moins tolérés ) et les gros gros mots (interdits totalement)
Bambinette:
Super méthode, Val, quand on peut ....
Parce que le matin, quand il s'agit de se préparer pour aller, eux à l'école, moi au boulot, je n'ai pas 1/4 d'heure pour jouer avec eux .... :-\ :-\ :-\ :-\ :-\
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