
La maîtresse:
- a des paroles malheureuses
- ne peut a priori quasi rien faire de plus, car empêcher des horreurs de bouger pendant la récré rend la situation pire en classe; proposition, selon disposition des lieux: limiter leur espace pour que les autres puissent se réfugier en dehors.
Les maîtresses de TPS-PS et de PS de Fiston m'avaient parlé avec beaucoup de détachement des "mordeurs" de leurs classes; c'est un phénomène normal lorsqu'on met 30 enfants dans 50m² (les petits cochons on leur coupe la queue pour éviter cela!), qui se calme avec les mois de socialisation. Le + difficile, c'est la gestion des mordus et surtout de leurs parents.
A étendre à d'autres manifestations inadaptées?
Ce qui est très certainement fait, par ailleurs, mais que la maîtresse n'a pas à te dire:
- alerter les parents des horreurs (et je te donne mon billet qu'une des famille au moins estime que la maîtresse harcèle leur pauvre petit, c'est normal d'être bougeon à 3 ans), pour "qu'ils fassent quelque chose".
- mettre en route le RASED s'il existe
- envisager une adaptation (diminution) de la scolarité (ce qui ne veut pas dire l'obtenir) si la situation dépasse un "simple" difficile début de la vie en collectivité
Le temps que les lignes bougent, il y en a pour quasi un an.
Ce qui pourrait apporter une protection relative à ton fils, c'est de faire partie d'un groupe d'amis. Sauf que c'est fort rare à cet âge.
Si F. a récré avec son frère, à voir si cela ne le rendrait pas plus fragile ( = "capable de gérer seul les emme...ments"), mais l'inciter à le rejoindre pour jouer avec leurs amis est-il envisageable?
Histoire de mutualiser leur capacité à refuser les actes inadaptés ("nan, pousse pas, va-t-en maintenant" & co).

à ton F. et à toi.