Bah, rien de bien terrible. Rémi a eu peur, Rachel est partie en exploration, comme d'habitude 

Opaline, viens faire un tour sur le fil des marsiennes 2008 et dire que tu prives de dessert, je me sentirai moins seule 
C'est rare que ça arrive (la privation de dessert), car s'ils font l'effort de gouter et qu'ils n'aiment pas et donc ne finissent pas, je leur donne quand meme le dessert, mais UN SEUL. Et s'ils ont encore faim après, je leur repropose l'assiette 
Mais quand ils me poussent à bout, ils sortent de table en hurlant et si je suis bien énervée, le repas est terminé et tant pis pour eux !! Faut pas trop me chercher, et je crois que périodiquement, c'est ce qu'ils font, pour voir si jamais les règles n'auraient pas changé. Ils en sont pour leurs frais !!

Ils jouent de + en + souvent dans leur chambre quand on est à l'intérieur et y'a pas à dire, je respire  La voilà, la solution  Bizarrement les disputes sont moins fréquentes quand ils sont en haut (et moi en bas) car on ne peut pas me prendre à partie !!

LN

Ben, si je peux me permettre Opaline, c'est toi qui a commencé à faire du chantage ... 
Ta fille n'a fait que reproduire la même attitude .... 

Tu n'applique pas la même méthode avec tes enfants?

ah ok, je comprends.
(comme quoi tu vois ça m'arrive des fois -> ceci n'est pas un pic!!  )

Coucou,

Sur ces problèmes de chantage vis à vis de la nourriture, chacun sa méthode .

Personnellement, je préfère leur garder l'ordre du repas, à savoir viande ou poisson, accompagné de légumes et/ou féculents, un laitage au choix, et un seul, puis un fruit au choix.

Ce qui est au choix fait qu'ils savent varier leur préférence d'eux même facilement (fromage ou yaourt, les 2 on la côte, y compris les yaourts natures de chèvre . Bon, en même temps, nous n'achetons jamais de petits suisses parfumés et autres desserts chocolatés ).

Si ils n'ont pas mangé une partie du repas, cela n'empêche pas la suite, mais il n'y a pas non plus double ration ! Sauf les légumes . Ce n'est pas un yaourt et un fruit qui combleront leur faim si ils ont faim .

De même, je n'ai jamais forcé à gouter. C'est fait à l'école, et cela donne des scènes très étranges, où l'enfant pose une surface de langue des plus petites possible pour montrer qu'il a fait l'effort de gouter . Et puis par expérience, l'enfant que l'on force mettra un point d'honneur à montrer son dégout absolu .
Et par période, mes zouaves prennent d'eux même plaisir à gouter de nouveau truc...

C'est ma méthode. Mais je te comprend aussi élo . La méthode dépend aussi de l'enfant qu'on a en face de soi.

A +

Ici je maitrise ...... le non est dans l'ensemble respecté .... et quand ca ne l'est pas ..... je fais mes gros yeux, je hausse le ton et donne une tite fessée ..... et en général ca passe .....
Ici les portes sont toutes fermées ( ou bloquées ouvertes avec des bloques portes ) car ils adorent aussi les portes .......
Parfois quand ils sont vraiment trop espiègles, je les mets dans leur lit et je ferme la porte ..... histoire de souffler un peu !!! 

Un peu dur, dur en ce moment.
L & B sont très très demandeurs de notre présence, nous testent, veulent qqch, ne le veulent plus, cherchent la confrontation.
Bref, le bonheur....
On en a parlé avec Delphine ce midi, on remet à plat notre façon de faire...et passer plus de temps avec eux (ns sommes tous les 2 à tps complet et je bosse svt de nuit)

Allez, ça va le faire....

Euh ... je ne vais pas faire plaisir à tout le monde avec ma réponse, mais quand j'ai traversé cette période avec Roxane (car Axel n'a jamais trop cherché à dépasser les limites), c'était entre ses 18 mois et 2 ans, il y a eu quelques fessées ..... 

Le 1 - 2 - 3 a très bien fonctionné (fonctionne encore très bien !) ; ils ont vite pigé que si à 3, ils n'avaient pas "obéï" (suivi la règle, respecté, etc ....), la "sanction" tombait : soit une claque sur les cuisses (et pas vraiment une fessée) parfois, soit isolé dans une pièce.

Et c'est en ne lâchant pas cette méthode que ça c'est arrangé ..... 
Mais ça a été difficile avec Roxane.
J'ai eu une période où tous les soirs, tous les soirs, je redescendais après l'avoir couché et je pleurais ; elle m'avait tellement poussé à bout que les nerfs lâchaient .....