le résultat du test! 

+1 pour la donzelle à l'école.

Et pour W?
Pour l'inscription administrative, no soucy. Il sera toujours temps de se raviser ensuite.
Pour une fréquentation effective de l'école:
Qu'en pense son neuropsy (ou n'importe quel doc' en lequel tu as confiance) ?
La propreté n'est pas un obstacle total, surtout si un PAI (projet d'accueil individualisé) est construit à ce sujet.
Le relationnel et la motricité, c'est autre chose. Mais, miracle de l'éduc nat, rien ne sera mis en place en classe  (présence d'un AVS, typiquement) tant que W ne sera pas scolarisé, je le crains. La MDPH pourrait me contredire, mais comme ils perdent des dossiers...  .



PS: mes 3 enfants n'ont été propres que la semaines d'avant leur entrée à la maternelle 

   Meghane peut très bien comprendre pourquoi son frère ne va pas à l'école et elle si ! Quant à les séparer à cet âge, je ne comprends pas où est le problème. Ils n'ont pas à rester ensemble tout le temps ! Enfin, je ne vous connais pas (y'a ptêtre des raisons que j'ignore), mais je trouve ça très dommage que la petite ne puisse pas profiter de l'école !  Mais bon, si ce n'est pas cette année ce sera l'année prochaine ! 

 

pas glop le dilemne mais je partage l'avis des cops: si tu sens que Mademoiselle est prête, ce serait dommage de la priver sous prétexte que son frère ne peut pas

bon courage

Et pour apporter un peu plus d'eau au moulin    l'école n'est pas obligatoire, même si l'inscription est faite. Si tu sens que cela se passe mal après la rentrée, tu retires M tout simplement non ?


Ama 

D et T sont rentrés à l'école ensemble bien que D marchait à peine et était à peine propre .A l'époque il y avait une institutrice d'intégration qui facilitait l'entrée à l'école .Je les avais séparés d'emblée  pour que T ne soit pas dans l'ombre de son frère et ça s'est bien passé la première année après ça s'est gaté.
Pour le multiple infos je peux peut-être vous l'envoyer s'il en reste à la fédé ,j'y vais samedi.

Je me permet de souligner ça ; ce n'est pas parce qu'elle ne semble pas très affective avec sa soeur que le lien gémellaire n'existe pas.

Mais ça ne change rien aux décisions prises !!!



Oscar, M ne doit pas "payer" les difficultés de W ; si elle est prête à aller à l'école, qu'elle y aille ; ils vont suivre des chemins différents.
Le tout, mais tu le sais bien, est de verbaliser ; que chaque enfant comprenne ce que vit l'autre ; que les mots des parents et des psy les déculpabilisent tous les deux ; que les raisons des choix soient dites.



Le problème est que dans l'évolution des jumeaux, il y a des étapes à "respecter", ou tout au moins, il faut en tenir compte.
Les jumeaux ont une étape "supplémentaire" que ne connaissent pas les enfants nés uniques (c'est plus long à écrire mais finalement, je préfère cette expression au terme "singleton") ; c'est l'étape de la complémentarité (qui est censée durer entre 2 ans et 5-6 ans) ; si cette étape (après la fusion) est bien vécue, l'étape de l'autonomisation se fait en douceur.

Ceci dit, il est bien évident que devant les difficultés d'un des jumeaux, le jumeau qui n'a pas ses difficultés ne doit pas être pénalisé.

Francis Bak, quand il reçoit des jumeaux dont seul l'un des deux a des difficultés (psy ou autres), commence par travailler avec le jumeau "qui va bien" ; le but est de l'amener à accepter qu'un jour, son frère / sa soeur, qui pour l'instant "ne va pas bien", ira mieux un jour.
Parce quoiqu'on en dise, quoiqu'on fasse, un jumeau est toujours très soucieux de ce que vit son co-jumeaux ; jouer le rôle de "béquille" se fait (plus ou moins) de toute façon ; donc que devenir quand on n'a plus à être une "béquille" ?

Vous me suivez ou je développe plus ?  



Ama, on post en même temps : oui, on va tâcher avec St Cast de retrouver un numéro de ce MI (sinon, je l'ai à la maison), et on peut t'en faire parvenir un, ainsi qu'à Oscar.