Mes filles sont en plein dedans (depuis leur 18 mois). Je n'ai pas d'astuce toute prêtes pour toi. Ce qui a marché avec mon grand c'est de répéter et ne pas céder. Avec les filles c'est pareil, on les mets au coin ou on les isoles mais on ne lâche pas. Elles pleurent tant pis pour elles ce n'est pas maman ou papa qui céderont. Cette méthode semble porter ses fruits car les pleures durent un peu moins. Et quand on sort pour aller à la crèche (elles viennent de faire leur insertions et commence pour de bon la semaine prochaine) où à l'école pour le grand elles se tiennent mieux et si il y a un soucis je n'ai qu'à hausser le ton pour que ça ce calme.

Par contre mes puces ne sont pas au point au niveau langage du coup par moment elles se mettent dans tout leurs états car je n'ai pas comprit ce qu'elles voulaient me dire, dans ses cas là, je les apaise et j'essaie de leur faire dire ce qu'elles voulaient.

C'est une période dur (et qui me faisait vraiment peur quand les filles étaient petites), mais elle est très importante pour eux, comme pour nous. Plein de courage à vous deux. 

Ici aussi nous sommes en plein dedans! C'est vrai que c'est épuisant, il faut negocier pour tout, supporter les cris tout au long de la journée... Je n'ai pas vraiment d'astuce, nous essayons au maximum de ne pas céder. Quand ca devient vraiment difficile nous les mettons a l'écart (il faut reussir à les faire rester au coin ce qui n'est pas toujours gagné!!), nous essayons aussi de "détourner leur attention" en leur proposant des jeux ou de lire une histoire qu'ils aiment. Mais c'est vrai que ça coûte énormément d'énergie!! Il y a quelque semaine j'en étais presque à dire que cette période était plus difficile que les premiers mois!!
Pour les weekend c'est vrai que ce n'est plus comme avant. Mais nous nous organisons et nous relayons pour faire en sorte que chacun ait un peu de temps pour soi. Ce n'est pas évident mais je suis sûre que cette période finira par passer et à être plus simple.

Bonjour,

Mes jujus ont 20 mois et nous sommes entrés aussi dans la période du « non », de l’opposition, des cris et des frustrations difficiles à gérer…

Les conseils que je peux te donner, c’est d’essayer d’anticiper les crises. Par exemple, les prévenir avant : « je sais que ça ne va pas te plaire, mais nous allons faire ceci… ». Ne rien lâcher sur les choses qui te semblent essentielles, comme les règles de la vie quotidienne, les choses dangereuses ou le respect de l’autre. Mais faire des concessions sur des petites choses moins importantes (par exemple, s’ils jouent en se salissant, etc.). Nous leur parlons beaucoup, en sachant qu’en matière d’éducation il vaut mieux voir les objectifs à long terme et que ça passe par de nombreuses répétitions… Ce qui marche bien aussi, c’est de les guider physiquement (mon fils adore jouer avec le balai et crie si on veut le lui reprendre directement, du coup on lui explique qu’on va aller le ranger ensemble à sa place, on l’emmène et c’est lui qui le range. On le félicite ensuite. Comme il se sent acteur et non subissant notre interdiction, ça fonctionne). Quand ton mari est à la maison, vous pouvez faire des activités chacun d’un côté avec un juju. Et là, ça permet de faire des jeux calmes ou de lire une histoire tranquillement, d’être vraiment disponible pour un enfant sans que le 2e intervienne… Quand on a prévenu, expliqué et que malgré tout on voit qu’ils continuent avec un air de provocation, on les met au coin.

On essaie au maximum de vivre normalement avec les enfants, en y allant progressivement. Le week-end, j’appréhendais aussi de voir du monde, mais je me suis rendue compte qu’au final ça se passait plutôt bien. On reçoit plus souvent chez nous car les enfants restent dans leur environnement familier, et le fait d’avoir des gens avec nous permet aussi d’avoir des coups de mains. On les emmène en balade là où nous avons envie d’aller (jardin public, plage, chemins de campagne…). On commence par un moment pour qu’ils se défoulent, soit en marchant avec nous soit en jouant au ballon ou en les laissant aller à leur guise dans un endroit non dangereux, et on fait aussi des temps de pause. Bien sûr, ça reste de la surveillance constante et depuis quelque temps ils ne veulent plus trop rester dans la poussette. Du coup, on ne s’éloigne pas trop de la voiture, car il arrive qu’on revienne en les portant.

Il n’y a pas de solution miracle, il y a toujours des moments où rien ne va parce qu’ils sont ronchons, se bagarrent et crient beaucoup, ou te mettent des bâtons dans les roues pour les choses que tu as prévues… On a encore régulièrement des couchers et nuits difficiles, et c’est encore plus difficile à gérer avec le manque de sommeil. Si vous en avez la possibilité, confiez vos enfants quelques heures à de la famille ou des amis proches pour vous évader tous les 2 le week-end. Sinon, nous on fait des roulements tous les 2 : par exemple, mon conjoint les emmène en balade le samedi matin pendant que je nettoie la maison tranquillement et prends une bonne douche, et moi je m’en occupe après la sieste pour qu’il puisse faire des choses de son côté. Faire du sport aussi ça permet d’évacuer les tensions accumulées.

Bon courage !

coucou !!!

me revoilà !!! jai repris a temps temps plein et en plus un poste a responsabilites...heureusement mon cheri a une fonction ki me permet de me reposer sur lui il les emmene le matin creche puis les recup le soir...
par contre le we alors que jaimerais recharger les batteries et me detendre c kasi impossible....pas une minute a nous...des couchers difficiles...en ce moment jai envie deles passer par la fenetre kan ca dure des plombes le coucher tout le monde senerve alors !!! ils necoutent rien sinon !!! et comme je viens de commencer ils me sentir tendue ce ki naide pas malheureuement !!! aucune famille ici donc ca aussi ca aide pas AUCUN RELAI !!

javoue que la on aimerait partir au bout du monde !!!!!

comment faites vous ? avez vous des astuces ?
et LE WE parvenez vous a recharger les batteries avant la reprise du lundi

Suis ravie davoir decroche ce poste mais japprehende de passer mes we a menerver et ne prendre aucun plaisir
dans mon nouveau poste aucun RTT ni de recup possible donc c plutot des  semaines denses
je cherchais plutot une fonction avec des horaires plus cool mais pas trouve ai par contre decroche ce beau poste et c sur que cote horaires etc c pas pareil heureusement que je peux compter surmon conjoint

pour rappel mes deux garcons ont 2 ans 1/2...et disent tjrs NON ...!!!
je reprends aprs une tres longue periode sans bosser ...suis contente de ce poste mais jai peur que les jujus sentent mon stress ma tension et kis en patissent et ca je ne le veux pas bien sur....

MERCI les filles pour vos lumieres avis conseils aides !!!!

Bonjour,
nous avons des jumeaux qui ont maintenant 7 ans et une petite de 3 ans, nous avons connu aussi les galères de 2 à 3 ans ( et même jusqu'à 4 pour nous!), heureusement on avait la famille très présente. Je peux vous conseiller d'essayer déjà d'être le plus reposés possible, de dormir le maximum (quand ils font la sieste, dès qu'ils s'endorment le soir), parce que les jumeaux bébés vont ont probablement épuisés et les batteries mettent du temps (des mois) à se recharger. Pour la 3ème, nous nous sommes rendus compte que nous avons été beaucoup plus cool que pour les 1ers : pas de stress pour la sieste, elle fait tant mieux, elle fait pas elle se couchera plus tôt le soir, moins de stress aussi sur l'heure du coucher, si elle se relève on la garde un peu avec nous, c'est sûr se coucher à 21h30 avec école le lendemain c'est pas cool, mais elle fera une bonne sieste l'après-midi! Bref, essayez de dédramatiser et de ne pas essayer d'être les parents parfaits (au niveau rythme, éducation, etc...) ni d'avoir les enfants parfaits. Nous avons eu des tas de souci avec un de nos jumeaux qui s'est avéré précoce, ils va mieux depuis qq mois, après des années à culpabiliser, à aller chez le psy, chez le kinésiologue, participer à des groupes de parole et à des réunions d'info sur l'éducation positive... Nous avons fini par trouver le meilleur truc : opposer un calme et une écoute à tte épreuve, accorder du temps à chacun (même court mais de qualité). Nous sommes conscients que le parcours ne fait que commencer, mais nous sommes si positifs que nous songeons même à un petit 3ème, c'est dire!
En tout cas bon courage à vous!

Chloe, je te conseille pour tes we de ne surtout pas espérer recharger tes batteries de la semaine. Tu risquerai une désillusion totale. Etre avec ses enfants, petits comme les tiens, c'est une dépense d'énergie maximale!

Reprendre le travail c'est super, dis toi que c'est là ton exutoire! Malgré une intendance peut-être compliquée dans la semaine, des soirées interminables à les couchers, tu as des moments à toi (café, pause, discussions entre collègue, ton boulot en lui-même...) et prends les comme une bouffée d'oxygène.

Le we, utilise ton temps pour être avec tes enfants, jouer avec eux, se promener, aller à la ludothèque, à la bibliothèque,... faire ce que tu ne peux pas faire avec eux la semaine. Si vous le pouvez, faites la sieste chacun votre tour: l'un le samedi, l'autre le dimanche, en même temps que les enfants. C'est comme ça qu'on gère ici (pas de famille non plus) et c'est comme ça qu'on essaye de tenir. Et oublier les longues soirées devant la télé ou autre... couchez-vous dès qu'ils le sont!
Voilà les conseils. Ca ne dure qu'un temps. C'est ce que je me dis pour tenir aussi.

Sinon il y a aussi l'option babysitter: de temps en temps pourquoi pas un samedi après-midi pour passer du temps avec ton conjoint en tête à tête, ou seule pour prendre du temps pour vous/toi.

Plein de courage

coucou les filles
et merci pour vos retours !
c vrai ke sans famille pour relai pas simple...
des semaines denses et soirees compliquees nuits depuis ma reprise a nouveau compliquee...comme par hasard...
donc oui je vais suivre vos conseils de profiter du boulot pour  me dire ke c mon moment a moi et me dire le we je profite d'eux..pas simple car sommes bien kos ts les 2...
bisous a toutes