J'ai demandé aussi pour les monitos, en fait c'est pour anticiper les signes de souffrance foetale.

Merci pour les conseils !!

Pas d'annonce vraiment particulière pour moi d'autant que j'ai mis très longtemps à accepter de le dire de peur d'en perdre un...

Niveau des réactions globalement c'était beaucoup de... "bon courage !!" ^^ 

Pas d'annonce spéciale pour moi non plus. Mais les réactions ont été drôles. Les parents de mon chéri ont eu le souffle coupé pendant près d'une minute, sans un mot, sans rien trouver à dire ce qui est très étonnant les connaissant.
et pour les autres, beaucoup de surprise, d'inquiétude pour la grossesse et on a senti chez tous nos amis un "ouch, c'est mieux pour eux que pour nous".
Je craignais des réactions peu sympa et il n'y en a pas eu. Mais avant d'en parler on s'est laissé le temps de savourer la nouvelle à deux (et avec nos filles) et d'être bien prêts à répondre aux questions, à être dans la joie pour ne pas se laisser contaminer par l'inquiétude de l'entourage. Du coup, je n'ai aucun souvenir négatif associé à cette nouvelle. J'étais et je suis toujours dans le bonheur de ce cadeau de la vie. On a toujours dit qu'on était drôlement contents, mais qu'on était conscient de tout ce que ça allait impliquer.
Et encore aujourd'hui, je n'ai pas peur, si ce n'est cette peur de la prématurité. Pour l'après, pour l'organisation, on s'est bien préparé : aide ménagère, réorganisation de la maison, rangement et tri pour que le quotidien soit facilité, jeune fille au pair qui devrait arriver dans les prochains jours, congélation de plats pour faciliter la cuisine, bref... Et finalement la poussette et la voiture, ça nous a paru moins important que tout ça...

Comment allez vous copines de canapé ? Que lisez vous ? Comment occupez vous le temps allongée ?

Ici des romans de la bibliothèque à la cchaîne. Et du crochet pour finir un grand plaid entrepris au printemps (et des lectures de livres d'enfants avec mes poulettes et des petits bricolages avec elles)

Des bises à toutes. Bon début d'avent (ici les filles sont à fond et cela transforme cette période morose et sans lumière en période de fête et de joie de faire plaisir

Pour l'annonce, aucune réaction particulière, si ce n'est de gentilles moquerie, la plus récurrente étant "ah tu ne peux vraiment rien faire comme tout le monde", suivi de près par "toi qui en voulais au moins deux mais ne voulais pas être à pied trop longtemps" - être "à pied" est difficile à vivre pour les cavalières, j'en connais d'ailleurs qui ont arrêté de fumer sans problème pour leur grossesse mais qui en revanche sont montée à cheval jusqu'au dernier jour... 

Côté désagréments je dors beaucoup mieux qu'avant, toujours des remontées acides mais je fais avec (j'évite sucre, laitages et boissons chaudes, c'est en général ce qui les déclenche chez moi). J'ai une séance d'acupuncture vendredi à l'hôpital peut être que ça pourra agir sur les remontées acides... En tous cas mon dos va mieux, depuis les 2 jours d'hospitalisation je n'ai plus du tout mal! Je ne sais pas si c'est l'acupuncture qui a fonctionné, un effet anti inflammatoire des médicaments, le fait d'être allongée, ou que le deuxième bébé se soit retourné, mais en tous cas le principal désagrément a disparu!

Côté occupations, de la lecture, des achats pour les bébés, et la montagne de papier accumulée depuis plusieurs mois (on ne peut pas préparer un concours, être enceinte de jumeaux, et faire ses papiers  )

En fait avant de reprendre mes études de droit, j'élevais des chevaux! Je les élève toujours d'ailleurs, sauf que cette année c'est l'amie avec qui j'ai développé l'élevage (qui est très modeste, on fait entre 1 et 2 naissances par an, voire parfois 0) qui s'est occupée de tout.

J'ai la chance d'être à la campagne et d'avoir du terrain : quand on les a à la maison c'est plus raisonnable niveau $ ; heureusement! Sinon effectivement j'aurais dû arrêter avec l'arrivée des bébés, probablement.

J'espère bien pouvoir m'y remettre l'année prochaine, même si je sais que j'aurai forcément moins le temps, mais reprendre doucement les concours, travailler un peu les jeunes chevaux... Ca me manque terriblement!! Mais je sais que ce n'est pas évident à concilier....

D'ailleurs aujourd'hui j'ai demandé à la sage femme quand est-ce que je pourrai remonter à cheval, et si on ne pouvait pas considérer l'équitation comme une rééducation en soi du périnée, ça l'a bien fait rire (évidemment elle m'a dit non  )

Ca ne te manque pas, Lowinda ?

Bon de notre côté on a peut être réglé le problème voiture...

Quelle solution avez vous trouvé?