Il pousse pour ne pas avoir à faire ce suivi, oui. Surtout si la décision est effectivement de ne pas aller vers une trop grande prématurité. A quoi ça sert, si ce n'est créer une anxiété supplémentaire au jour le jour ?
Mais au final, je ne vois pas une équipe te mettre de force sur une table d'opération

. Tu peux toujours dire OK pour un suivi, on sort les bébés au moindre signe, et puis te rétracter au dernier moment.
Mais je pense que leur question est juste et doit être poser : est-on en mesure de vouloir poursuivre une grossesse, quand on sait qu'une survie est possible (avec tout ce qu’entraîne la grande prématurité... pour les 2

), à l'extérieur ?
N'est-il pas mieux de vraiment se poser la question, avant

. Eviter la situation d'urgence, qui nous pousse dans des décisions intimement liées à l'émotionnel, et de le regretter après

.
Les choix pris maintenant sont faits à froid, avec le temps pour se renseigner et comprendre les conséquences. Mais je parle volontairement de choix (et non d'une décision), avec un -s

. Je pense important, dans ton cas, NAPI, de se garder une marge de manoeuvre. Et je suis persuadée que cette marge de manoeuvre, tu peux te la donner

.
Vivement mardi...
A +