on avait monté les jums à 2000m au même âge. Il faut monter progressivement (par ex éviter un télécabine) et s'arrêter dès les 1ers symptômes observés (regarde sur un site pour la haute montagne, de mémoire: difficulté à respirer, tête qui tourne, mal de tête, tout ce qui est signe du manque d'O
2 )
Idem pour la descente, en douceur.
Bonnes balades, le coin est super par là bas
Ma nièce est sportive de haut niveau.
Tu tombes bien, je me pose plein de QALC sur les sportifs de haut niveau ! (je vais poser les questions pour ta nièce car les réponses doivent dépendre des personnes et des sports)
Ta nièce vit-elle des compétitions de sport ou est-elle obligée de bosser à côté ?
A quel moment ta nièce a t elle senti qu'elle ferait un tel parcourt sportif (je veux dire : à quel moment a t elle sacrifié d'autres pans de sa vie comme les études, les sorties, pour pouvoir suivre un entrainement intensif ? et quand a t elle quitté les filières de sport loisir pour suivre une filière de sport compétition)
Comment choisit on un entraîneur ? (est ce que c'est lui qui repère les sportifs qu'il veut suivre ou est-ce aux sportifs de prospecter ?)
(j'ai plein d'autres questions, mais restons raisonnables)
Merci
Je ne vais pas être capable de répondre à toutes tes QALC
Sportif de haut niveau ne signifie pas (et loin de là) rémunération de haut niveau. Ce statut lui octroie une prise en charge de tous ces déplacements en équipe de France, le financement d'une partie de son équipement et d'un petit pécule, je n'ai plus les chiffres en tête mais l'ordre c'est 800€ par an. C'est loin de suffire pour vivre
Elle n'a jamais sacrifié ses études, elle a tout mené de front études + sport
Ado, elle courrait dans le club de sa ville avec les entraineurs du club. Quand elle a passé le bac, elle a cherché avec ses parents une école d’ingénieur (dans la branche qui l'attirait, le BTP) dans une ville où serait présent un "bon" club, bon dans le sens où il y aurait le nécessaire pour continuer à s'entrainer et concourir.
Actuellement, elle bosse à Paris. Son entraineur de Toulouse ne l'a pas lâchée mais pas suivi non plus. On est loin des standards type Ma*nau*dou* (je n'ai rien contre elle
) qui peuvent vivre de leur sport et rémunérer leur entraineur
On n'est pas dans la même dimension.
Je te ressors un interview qui date de 5 ans.
http://www.all-finswimming.com/article-12388326.html