MARTINA c'est normal, je pense que l'accouchement et une cessarienne te turlupine.
Ce n'est pas parce que ca se passe bien que tu n'as pas le droit d'avoir ddes craintes.
Rien que le fait d'avoir commencer à mettre les vetements des petites dans la valise de la maternité, et d'avoir presque finie la chambre, on sent que les choses avancent. ET un accouchement je pense que ca fait peur. On espere que tout ira bien. Et a la fois on est impuissante pour maitriser certaines choses.
Les filles avaient elles aussi la tete en haut  a 28SA avant il y en avait toujours une qui avait la tete en bas. CA suscite des questions.
Pas evident cette pression, l'hypermedicalisation de la grossesese qui rassure et stresse a la fois.

Je ne sais pas si c'est parce que demain mon mari reprend le travail mais aujourd'hui, les larmes coulent à flot. MERCI LES HORMONES; sans raisons apparentes, pour un rien. EN voyant un body sur l'etendoir , je me dis: est ce qu'elles arriveront vers 36SA, en entendant le telephone sonner, je me dis qu'avec ses deplacements je n'arriverais peut etre pasà joindre mon mari lorsque je sentirais le travail commencer.
Je doute des prenoms choisis.
BREF AUJOURD'HUI C'Est space.

JE vais arreter de prendre le forum pour le mur des lamentations.
Mais il y a des jours comme ca. je pense quand même que les hormones ont leur responsabilité car le chat est rentré dans la chambre des filles deux minutes et ca m'a fait pleurer: j'ai cru qu'il fallait tout que je relave alors qu'elle etait monté nul part. Alors quand mon mari m'a dit qu'une reunion mega important l'empecherait d'etre a l'echo:....

Ca pourrait etre un sketch;

de ce côté là, ne te stresse pas trop... la nature est en général super bien faite et ton corps saura attendre le bon moment !  
moi aussi, j'ai un mari qui n'est pas à côté : il bosse à Paris en train donc si je l'appelle au boulot il lui faut 2 à 3 heures pour être là....
pour chacun de mes 2 précédents accouchements, le travail a commencé le soir et on est allés à l'hôpital au petit matin avant qu'il parte au boulot !  

Quelle ethnie? j'ai vécu en Guyane et je n'ai pas observé ça. Par contre l'homme qui se laisse vivre, c'est pas que 6 semaines après l'accouchement là-bas 

Oui c'est vrai qu il es très investi non il a juste grossi il a rien d autres comme symptômes j'ai fait une recherche sur couvade et j'ai trouvé ça


Outre ces symptômes physiques, la couvade est aussi présente dans des rites culturels. Elle est décrite déjà dans l’antiquité et dans les récits de Marco Polo par exemple. Un des aspects les plus frappants de ce phénomène, est sa présence dans des populations très éloignées qui n’ont jamais eu de contact entre elles.

Dans certaines zones du brésil, la tradition veut que les hommes se fassent saigner pendant que leur femme accouche.

En Guyane Française, il est forcé au lit, isolé des autres, pendant 6 semaines après l’accouchement, après quoi des membres de la famille lui font des entailles dans la peau et lui frottent des piments sur le corps.

Les Huichols, une tribu indienne du Mexique, avaient sans doute le rite qui donnait le plus de certitudes afin que le père ressente la même douleur que la mère (l’on dira même que c’était le plus cruel) : la femme qui accouche était allongée dans une hutte, et son mari s’assit sur le toit au dessus avec une corder attaché autour de ses testicules. A chaque contraction, la femme tirait sur la corde… On imagine la douleur éprouvée par l’homme, au moins égale à celle de sa compagne !

 

Les FIV ça se passe sous AG ? (excuse mon ignorance)

Les accouchements approchent, une petite information sur le clampage du cordon ombilical.
Bien sûr dans vos cas il ne s'agit pas de faire un don placentaire, mais un clampage précoce prive le bébé d'une grande quantité de son sang. Alors vous pouvez demander (surtout pour J1 qu'on "déconnecte" rapidement, que le cordon soit trait (c'est à dire que le soignant fasse remonter le sang dans le cordon vers le bébé) pour l'aider. Ca ne coûte rien et c'est un beau coup de pouce pour les premier jours.

Oh
My
GOoOOOoOOD!!!!  




La FIV comporte plusieurs etapes :
Blocage de l'ovulation, stimulation de l'ovulation (tout ça par injection d'hormones), ponction d'ovocytes, fécondation dans un liquide et transfert d'embryons (bon je la fais courte hein ^^)
La ponction se fait sous anesthesie, parfois locale (soit disant les femmes ne sentent rien) parfois générale.
Moi j'ai eu droit a l'anesthésie locale. Ben j'en ai chié ma race maudite, si vous me passez l'expression!
En fait le doc passe tout un tas de matos pas le vagin, donc le "couloir" est endormi effectivement on sent rien.
Mais pour prélever les ovocytes, il pique dans les ovaires, et de l'autre coté de la paroi ben c'est pas endormi et ça m'a fait vraiment un mal de chien, j'en pouvais plus!
Quand il a fini (il prélève de chaque coté, moi y'avait 10 ovocytes) la douleur a été pire, et j'ai fait un mini malaise.
On m'a filé un doliprane et deux spasfon et "au revoir bonne journée".

Sous anesthesie générale, ca se passe beaucoup mieux parait il.....

Oui c'est vrai qu il es très investi non il a juste grossi il a rien d autres comme symptômes j'ai fait une recherche sur couvade et j'ai trouvé ça


Outre ces symptômes physiques, la couvade est aussi présente dans des rites culturels. Elle est décrite déjà dans l’antiquité et dans les récits de Marco Polo par exemple. Un des aspects les plus frappants de ce phénomène, est sa présence dans des populations très éloignées qui n’ont jamais eu de contact entre elles.

Dans certaines zones du brésil, la tradition veut que les hommes se fassent saigner pendant que leur femme accouche.

En Guyane Française, il est forcé au lit, isolé des autres, pendant 6 semaines après l’accouchement, après quoi des membres de la famille lui font des entailles dans la peau et lui frottent des piments sur le corps.

Les Huichols, une tribu indienne du Mexique, avaient sans doute le rite qui donnait le plus de certitudes afin que le père ressente la même douleur que la mère (l’on dira même que c’était le plus cruel) : la femme qui accouche était allongée dans une hutte, et son mari s’assit sur le toit au dessus avec une corder attaché autour de ses testicules. A chaque contraction, la femme tirait sur la corde… On imagine la douleur éprouvée par l’homme, au moins égale à celle de sa compagne !