zhom est d'accord sur le principe que la violence n'est pas une solution, qu'il faut mieux éviter de recourir à la violence donc ok avec moi (bref nous sommes tous les 2 sur la même longueur d'ondes )
Mais Là , il est "d'accord" pour la violence car il trouve que son fils en "prend plein la figure" (j'ai changé le terme de zhom) depuis la rentrée et que un moment, se laisser faire , c'est ouvrir la porte à transformer Y en souffre douleur et/ou mauviette .
Pour lui, rendre un peu ce qu'il reçoit c'est aussi dire , ok, j'ai reçu, j'ai rien dit mais maintenant stop, je ne suis pas votre bouc émissaire.
sauf que Y, hier à frappé une fille et dans notre société, un garçon ne frappe pas une fille (c'est lâche) 
Ce sont des mots que j'ai entendu hier  

Oui, on ne lève pas la main sur une fille........et un garçon
en résumé, mon fils est un violent
et moi, je porte la caricature de la mère qui sait que pondre des gosses sans savoir les éduquer
et ça aussi ça me  

pour le psy, même si j'ai des doutes, je ne les fait pas partager à Y
juste ici ou entre adultes
Le psy est ma bouée aussi de sauvetage, est elle efficace, je ne sais pas mais elle est là.
La défense verbale : Y n'est pas un enfant causant
en fait, je ne sais pas
Et moi dans tout ça, ben, je suis perdue
revoir l'instit, j'ai l'impression que cela ne sert à rien