Merci également, ne te presses pas, si tu tombes dessus à l'occasion .. 
Je suis en train de lire les premières oeuvres de K.Pancol ( moi j'aime bien  ) et bien 
"Moi d'abord" c'est un style ... à part. Les fans de la triologie des "tortues" et autres seront peut-être déçues. J'ai eu du mal à accrocher et puis finalement on se laisse emporter, mais ce n'est pas la lecture de l'année, ni celle qui m'aura le plus apportée.

je prendrai bien la suite pour le Prépuce...

J'ai toujours "quitte Rome ou meurs" que j'ai beaucoup aimé.. je devais le donner à Suzy mais j'ai oublié... je pense que je vais te l'envoyer Suzy finalement... parce que je ne sais pas quand on va se revoir...

je viens de finir Le septième fils d'Arni Thorarinsson... "petit" passage en Islande où les "enquêtes" sont menées par un journaliste... j'avais déjà parlé de lui (et les 2 premiers volumes tournent encore à ma connaissance ) j'aime bien, c'est prenant, mais pas de la même façon que les aventures d'Erlendur

en parlant d'Erlendur, j'avais emprunté La rivière noire à la bibli, mais je suis sensée le rendre samedi... pas encore eu le temps de l'ouvrir je vais voir si je peux prolonger...
et j'ai aussi qqs livres reçus qui m'attendent...

ben la prochaine fois que je passe à Paris c'est pour prendre le train pour Lille en janvier...
Sinon tu viens quand tu veux.... tu le sais!

Bonjour,
Me revoilà dans la ronde après un petit temps de flottement.
Voici les bouquins que je peux prêter :

Le héron de Guernica (Antoine Choplin) : roman qui se déroule pendant la guerre civile espagnole, juste avant, pendant et après le bombardement de la ville. On suit un jeune homme, peintre amateur de hérons qui traverse ces évènements avec une sensibilité bien particulière.
J'ai bien aimé ce roman que j'ai trouvé tendre, sobre mais poignant. Mes parents l'ont trouvé un peu fade.

Des vies d'oiseaux (Véronique Ovaldé) : roman qui se déroule en Amérique Latine (mais écrivaine frnaçaise). Au début, on pense lire un roman policier. Ce n'est qu'un prétexte. On suit à travers ce livre une mère, sa fille à travers leurs relations tumultueuses. J'ai bien aimé ce roman.

Contrebande (Enrique Serpa) : roman d'aventure d'un écrivain cubain qui se déroule à Cuba juste avant la révolution cubaine, au moment de la prohibition aux USA. Dans une atmosphère de grande tension sociale, on suit un homme riche et désœuvré qui va se lancer dans la contrebande d'alcool pour impressionner la galerie. Il ne se rend pas compte (ou ne veut pas s'en rendre compte) qu'il se fait manipuler par l'équipage miséreux de son bateau de pêche. L'histoire est très intéressante à condition de passer outre le style d'écriture "rococo" (beaucoup de descriptions, phrases à rallonge, beaucoup d'adjectifs et d'adverbes, beaucoup de métaphores) Ma mère m'a dit que ce style d'écriture est fréquent chez les écrivains d'Amérique latine.

Les chaussures italiennes (Henning Mankell) : ce n'est pas un roman policier. Un homme de 66 ans vit reclus sur une île déserte et gelée en suède, pour se punir (on saura plus tard de quoi) quand il voit débarquer chez lui son amour de jeunesse. Cette femme va l'obliger à sortir de son île et ça va bouleverser sa vie.
Comme tous les romans de Mankell, c'est captivant (sauf les premières pages où on voit cet homme vivoter sur son île, mais c'est sûrement fait exprès).

Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates (Mary Ann Shaffer & Annie Barrows) : on en a déjà parlé : roman épistolaire entre une journaliste-romancière et ce cercle littéraire situé à Guernesey. Le récit se déroule après la seconde guerre mondiale et on y découvre la vie sur l'île pendant l'occupation allemande. Très beau roman. Le début est un peu long, mais ensuite on ne regrette pas d'avoir persévéré.

J'ai aussi Où on va papa ? mais je ne l'ai pas retrouvé. Probablement qu'il circule dans ma famille.

de rien, c'est plaisir 
Pennac, c'est une valeur sûre 

Je confirme : Pennac mais aussi Benaquista. Rosa Candida, très bien.

Les chaussures italiennes j'ai adoré.
Et aussi Le cas Sejner de JP Dubois, caustique mais moi ça me fait rire.