Sushy, courage... je me souviens aussi de période où le sommeil de ma fille était pour le moins inconfortable (genre 17 : 30 - 5 : 30... c'est cool, 12 heures
). J'ai trouvé le truc en la réveillant vers 18:30 pour la recoucher 1 heure plus atrd, après le bain et le repas. J'ai detesté ça, mais petit à petit, elle a pris son rythme à elle, qui n'a plus bougé depuis (sauf excception, maladie apr ex). A presque 3 ans, c'est 19 : 30, 19 : 45 - 7: 15, 7: 45... Et plus elle se couche tard, plus elle se réveille tôt.
Mais bon, elle est speciale, ma fille
Merci pour votre sollicitude, les filles.
Avec ma mère, les choses sont plus complexes que ce que j'en dis. Mais j'écris, Bambinette, et ça m'aide.
Julia, la question de la transmission intergénerationnelle a été travaillé par ma mère elle même. Elle est psy, et elle est consciente de son fardaud.
En revanche, c'est comme si son travail s'était arrêté à sa vie, et qu'elle était incapable d'avoir ce même regard sur moi. Et moi, de mon côté, parce qu'il y a aussi un père dans ma vie (et un drôle de numéro, pour le moins), je me suis engluée dans diverses difficultés avant de réussir à relever la tête.
Pour ces raisons là comme pour d'autre, la naissance de Léonie a été un énorme bouleversement, que j'ai eu du mal à gérer, et qui a été ponctuée par une dépression post partum que je n'ai pas voulu traiter sur le moment (m'en sortirai toute seule
... j'ai un caractère de cochon
) mais que je n'ai pasréussi à vraiment surmonter. Par la suite, quand avec mon mari nous avons envisagé un second enfant, j'ai pris les choses en mains et suis allée consulter. Ca m'a fait un bien fou.
Je ne veux pas faire "exploser" les choses avec ma mère, parce qu'elle n'en n'a pas besoin (elle sort d'un double cancer extrêmement grave), parce que je suis pacifiée suffisament pour avancer sans faire trop de mal.
MAIS c'est dur, je me retrouve avec l'imminence de la naissance dans une position comparable à celle de la naissance de Léonie, avant que je travaille sur moi, je ne peux pas continuer à voir mon psy parce que je n'ai plus le doit de conduire, donc je suis en latence, quelque part.
Voilà le roman...
Z'êtes pas obligées de lire ni de répondre... Merci de toute façon, vous me faites réfléchir.