Pour moi la Vie n'a le sens que de la survie.
Je sais ça veut rien dire, mais je ne sais pas comment tourner cette phrase.
Nous sommes tous porteur de Vie. Si on voit la Vie comme ayant une existence propre son unique but c'est de survivre. Pour ça, elle nous pousse à nous reproduire et à évoluer. Les corps sont parfaits aujourd'hui parce que les imparfaits sont morts hier. Après tout, il y a eu plusieurs "races" humaines qui ont disparues pour laisser place à l'unique homo sapiens sapiens. Et les autres animaux n'ont qu'à bien se tenir pour pouvoir survivre au monde qu'on leur prépare (plus de 50% de disparition d'espèces en 40 ans quand même, faut savoir évoluer vachement vite dans ce monde).
L'espèce humaine n'est pas encore parfaite puisqu'elle même va avoir du mal à survivre au monde qu'elle s'est construite. Mais on est l'espèce qui en a adopté je trouve la meilleure stratégie : "Modifier l'environnement pour qu'il s'adapte à nous plutôt que l'inverse". Et voilà comment peupler la Terre à grande échelle.
La Vie trouve toujours un chemin disait le grand philosophe (Steven Spielberg, hum) (oui, "référence", pardon). Voilà pour moi l'unique sens de la Vie : Survivre.
Evidemment qu'à titre individuel ça n'a pas de sens, mais il faut voir le tableau dans son ensemble.
A titre individuel, quand on travaille dans un foyer de personnes handicapées, je vous prie de croire qu'on s'en pose des questions sur le sens de la vie. Surtout quand on côtoie de grands handicaps comme cette personne qui me

à chaque fois que je la vois (6 mois d'âge mental dans un corps de 40 ans, c'est un décalage impressionnant).
Enfin, bref, les réflexion de 5h44 du matin (et je vais être à la bourre), après même pas 5h de sommeil puisque Jules a décidé de se réveiller un peu avant une heure en me hurlant qu'il ne voulait pas dormir et qu'il avait peur. Mais tu vois mon chéri, à 1h du matin, je m'en fous. Dort.
Bon, je vais essayer de ne pas me prendre un fossé. Biz
