Dur dur le retour.
Emotionnellement, c'est un trop-plein.
Ici, j'ai dû désamorcer une situation qui aurait pu partir en live tout à l'heure. D était à un anniversaire. N était avec un copain d'école (mais qui, au départ, venait plutôt voir D... ça a son importance). A 17h15, je reviens avec D. Aussitôt, les 3 garçons commencent à parlementer sur ce qu'ils vont faire et, comme d'hab, ça part en quenouille. Là, le copain se tourne vers N et lui sort "J'ai passé tout l'après-midi avec toi, maintenant je vais jouer avec D."
N se retrouve tout seul, triste et en colère, sur la balançoire. Je sens que ça monte, surtout quand il se met à ma parler sur l'injustice de la situation.
Je suis allée voir D et son copain et je leur ai dit que ce n'était pas sympa du tout de planter N comme ça. Je rappelle à D qu'il a passé une bonne après-midi avec tout plein de copains, il ne peut donc pas se plaindre de n'avoir joué avec personne. Puis je dit au copain que je ne trouve pas son attitude très sympa: il vient voir N parce qu'il s'ennuie et que c'est, en gros, faute de mieux parce que D n'est pas là et lorsque D revient, il largue N comme une vieille chaussette. Finalement, le copain a entendu ce que je lui disais (vaut mieux, je me suis déjà fâchée bien fort après lui pour comportement
) et a joué encore avec N. D, lui, est allé chercher son grand copain qui habite un peu plus loin. OUF !!!
En fait, c'est chaud, dès qu'un des 2 a un copain à la maison et pas l'autre.
Pas de colère, pas de dispute cet aprèm, c'est toujours ça de pris !