Coucou,

A mon humble avis tu es en train de créer une situation anxiogène Je pense qu'une femme n'est pas l'autre, et que l'interprétation de ce paramètre hors contexte, et qui plus est pas des intervenants qui ne sont pas qualifiés pour le faire, va inévitablemt compromettre la zénitude nécessaire aux mamans. Ne créons pas des problèmes là où il n'y en pas forcément Et si tu as un doute sur ton suivi médical actuel, demande un second avis ailleurs

Bonne journée zen   

J'espère juste alors que tu pourras être rassurée comme ça. J'ai quand même de gros doutes. Etant donné ton parcours, je comprends la nécessité que tu éprouves à être rassurée. Peut-être alors serait-il envisageable de prendre un second avis médical? Car si tu doutes de ce que te disent tes médecins c'est qu'il y a un soucis sous-jacent. Par exemple un problème de communication de leur côté voire des deux, soit une angoisse qui doit être adressée avec des moyens adaptés. As-tu fait une liste des points objectifs et subjectifs qui peuvent expliquer ta défiance et le fait que tu nensoisnpas rassurée? Avec une liste de ce type, tu peux discuter de chaque point avec l'équipe médicale, de façon ouverte et franche, Une façon aussi de ne rien oublier et de confronter tes interlocuteurs à l'origine de tes angoisses. La source d'une inquiétude relève parfois du détail, mais il génère un malaise et donc contribue à nuir au climant de confiance indispensable dans la relation patient-médecin. Donc chaque détail qui est important pour toi est important et il ne faut pas hésiter à en faire part aux spécialistes qui te suivent.

Exemples:
- quand vous me parlez de mon col, je suis toujours inquiète , j'ai besoin d'en savoir plus
- j'ai l'impression que vous ne me dîtes pas tout
- j'ai le sentiment que mon suivi n'est pas suffisant, rassurez-moi docteur

etc.... il ne faut pas hésiter à y aller franchement, les médecins sont formés pour gérer des objections parfois crue et directes, et tant que le ton reste cordial, que la courtoisie est de mise, et que les interlocuteurs sont à l'écoute réciproquement, on peut discuter de tout et tout se dire. On reste humain forcément et on peut se vexer, mais tout est dans la façon de présenter les choses. Certaines patientes sont peut être moins demandeuses d'infos, alors comme tu en ad besoin, exprime le et insiste.

Après je ne te connais pas, donc je ne peux pas préjuger de ta sensibilité et de tes besoins, mais je pense que c'est une mauvaise idée de comparer la longueur de ton col avec celui des autres, tant pour toi, que pour les autres.

@+

Oui tu as raison, j'aurais plutôt dire ''habitués'' par prudence. 

Je m'imaginais (à tord peut-être), que dans le cursus universitaire, les médecins avant de se spécialiser recevaient des rudiments en com et en psycho, justement dans le contexte de l'approche du patient, la gestion de l'émotionnel etc, Ca ne fait pas partie des matières dispensées sur le tronc commun?

Je plussoie: col ouvert à 2 fin février, accouchement de mademoiselle Troisième fin avril (et 4,1kg de cocotte!  ) tout en ayant mes deux aînées à gérer, ce fut épique, mais c'est faisable, donc zen!

ça, pour moi, c'est de la légende urbaine qui arrive lorsque la mesure du col n'a pas été faite par la même personne .

Par contre, oui pour dire que la position assise ou semi allongée n'est pas la meilleure pour reposer un col par trop solliciter. Mais là encore : ZEN . Repos ne veut pas dire être constamment allongé, au risque d'avoir une fonte musculaire importante , surtout lorsque rien ne porte à croire qu'il y ait un quelconque risque.
Ecoute ton corps , et après une balade revigorante, un petit repos position allongée dans son canapé avec un bon livre à la main, il n'y a rien de tel , avant que de se préparer, tranquillement, de bon petits plats .

A +

@ impacienza 
Merci

yes 

par contre, il faut se tenir bien tranquille