Merci pour le tuyau!
J'essaie aussi, mon principal problème étant qu'elles s'y mettent toutes les 2 en même temps et là comment faire? Car les conseils de notre gourou sont vite dépassés je trouve ...

C'est sur quand elles s'y mettent à 2 

Ce qui fonctionne bien c'est la diversion : oh regarde le chien, le pigeon... Ou tout autre truc plausible ou pas 
Et quand c'est la sœur qui apporte un doudou, une tute, ou une peluche alors là c'est le top 

Bonsoir,
Dans quelles circonstances manifestent-elles leur jalousie vis-à-vis de vous ?
Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur leur relation ?

Tetelle il a  quel caractere ton Antoine  a 20mois car j'en ai un de 14mois 
je sais bien que chaque enfant est different mais ce qu'on m'a dit sur les caractere ds les gdes lignes ce sont tjs reveles exactes

Il y a eu un passage comme ca chez nous aussi. Je disais on fait un calin à 3 ou j'arrete le calin... Et maintenant ils apprecient le calin à 3 et sinon ils disent "d'abord Léo (ou César) après moi".
C'est vraiment des passages : il faut qu'ils apprennent...

En ce moment ici c'est les pleurs et les colères à hurlements... J'espère aussi que ça va passer car je teste plusieurs méthodes et j'avoue que celle qui ME convient le mieux c'est "si tu veux crier tu vas plus loin" ... Visiblement pas meilleure pour l'enfant. En meme temps quand il y en a un qui joue très calmement avec qq chose et que deuz se pointe pour piquer le jeu, ce qui met prem's en colère et moi hors de moi qui dit "non tu attendras qu'il ne joue plus avec, on ne pique pas ... patati patata..." deuz frustré qui hurle et pleure, j'essaye d'expliquer (à un mur de larmes) je tente une alternative (genre joue avec celui là ... Le meme en rouge) et que ca part en crise de cris ... T'as pas vraiment envie de le serrer dans tes bras pour liberer de l'ocytocine et toutes ces phéromones d'appaisement... D'autant plus quand c'est la 7eme crise de la journee...

Chaque age a ses bons et mauvais cotés. C'est ce que je me dis pour ne pas "peter les plombs"...

Courage à toutes!!!!!

Bonjour
Je peux comprendre que vous ayez de l'appréhension à les écouter DAVANTAGE car j'ai le sentiment qu'ils prennent déjà BEAUCOUP DE PLACE dans vos vies quand ils s'opposent, s'insurgent, refusent d'obéir. Leur donner  plus de temps que vous ne leur en donnez déjà, pour vous rapprocher de leurs états d'âme, peut sembler un exercice difficile qu'il faut en plus  tenir dans la durée car en matière d'éducation, rien n'est instantané ! Les changements prennent du temps avant d'être installés, reconnus et repérés.

Cela demande de  réunir BEAUCOUP D'ENERGIE alors que l'on vous sent fatiguées voire épuisées. Cela peut même paraître contradictoire avec l'envie pressante que vous avez  d'avoir (enfin !)  plus de temps pour vous, pour vous ressourcer, vous retrouver en couple ou autre. C'est bien légitime. Quel compromis trouver ?

On sent en effet chez vos enfants beaucoup d'envie d'exclusivité. Notamment, quand ils demandent des câlins, ils ne sont pas toujours prêts à partager votre attention avec leur frère ou soeur. Parfois vous pouvez leur accorder ce temps individuel (même court)  et cela calme sûrement le jeu mais quand vous ne  le pouvez pas, je rejoins votre gourou, en pensant qu'il est bon de leur dire ce que vous ressentez à ce moment là :"Je vois que tu n'as pas envie de partager avec ton frère ou ta soeur, mais pour le moment ce n'est pas possible. J'entends bien cependant ton désir. On va essayer de  trouver un petit moment tout à l'heure."

Obtenir leurs adhésions, quand on peut, facilite la négociation. Cela va de soi ...
L'éducation n'a cependant pas fini de nous poser question ...

MDR  et je plussoie, bien évidemment...


Plus sérieusement, Régine, vous avez bien résumé la situation de la plupart d’entre nous.
Pour ma part, je n’ai comme aide, que celle de mon mari (et c’est déjà fort appréciable), mais nous sommes tous 2 assez fatigués.
Le souci aussi de ces pleurs est qu’ils sont, de notre point de vue d’adultes, disproportionnés et pas toujours à propos. Ce qui donne l’impression que ça pleure "pour un oui pour un non". D’autant que comme on enchaîne les 2, par exemple pour le change, le deuxième récolte la perte de patience due au premier s’il a été particulièrement pénible…
En plus, le fait de leur expliquer ou de mettre des mots sur leurs pleurs ne désamorce pas forcément la situation…

Par contre j’ai résolu (pas entièrement, hein, on n’est pas à Lourdes ) le problème du change : je propose 2 choix pour se déshabiller couché ou débout (comme les grands) et pour enfiler body et t-shirt tu veux commencer par la tête ou par les mains ? Tu veux enfiler ton pantalon seule ? ça ne fonctionne pas trop mal…