RDV avec la maîtresse, remplaçante, de N:
- réexplication du contexte des diverses punitions
- recherche de piste pour l'autonomie de N, qu'il ne se retrouve plus à cacher des choses
- vis à vis des interactions entre enfants elle nous a carrément dit qu'il règne un climat malsain parmi les grands (rien que ça
) , et qu'il se propage, que l'équipe enseignante le vit mal et se sent démunie.
R. a renchéri sur la propagation, et la manipulation de petits par quelques grands, suite à la réunion de préparation du conseil d'école de l'asso de parents.
Oki doki, elles murissent... Mais ça ne sera jamais assez rapide!
On a validé le fait que N. joue avec de bons garçons, et elle en a indiqué un autre (pour les récrés; entre midi et 2, la rit@line n'agit plus...) .
J'ai réussi à caser le fait que des choses se produisent dans la cour, de façon répétée, par des groupes, sans qu'aucune ne voit rien. Que N. n'espérait aucun soutien des adultes.
Et j'ai laissé le doc concernant le harcèlement.
J'ai contacté le service de pédopsy du CHU, qui m'a renvoyée sur le CMPP du coin, qui après avoir demandé la raison de mon appel et pris nom/prénom/adresse/téléphone, devrait me rappeler vendredi prochain.
Mais apparemment, n'étant adressé ni par son médecin, ni par le psy scolaire, N. risque de ne pas y rencontrer de psy.
Chouette!
En bref et en se centrant sur N: il n'est pas sorti de l'auberge; mais en obtenant de lui qu'il raconte au fur et à mesure, peut-être qu'on limitera les dégâts.
(genre: ce soir, d'autres voulaient l'enfermer dans la classe: il n'avait pas fini d'écrire ses devoirs lorsque la maîtresse du vendredi est descendue avec le groupe; résultat: je l'ai vu shooter vigoureusement la porte battante du couloir)
nota: je suis restée la maman de N, l'enseignante ignorait que je le suis aussi... et en CM2 qui plus est
.