Ma scéance en effet, c'était vendredi.. Un peu déçue de moi.. j'ai été "légère", pas forcément envie d'aborder des sujets douloureux, donc je suis restée en surface...
Sur un auter fil, qqu'un a dit que le bonheur est un état d'esprit... cela m'a fait réfléchir... enfance sans démonstration d'affection, où se trouve ce verrou qui m'empèche de profiter de tout sans me poser de questions?
Ma meilleure amie avait des parents merveilleux : son père, un homme bourru, brusque, mais qui avait des yeux qui montraient tout l'amour qu'il portait aux siens... sa mère : une femme extraordinaire, qui irradiait l'amour, qui avait des avis bien tranchés, mais qui se serait/s'est coupée en mille pour sa famille.
J'ai eu la chance de les connaitre, et de voir à quoi ressemble l'amour parental. j'ai envié mon amie (positivement, hein, pas d'envie malsaine, de jalousie)
Mais, moi, pour me construuire en tant que personne, pas facile.....
Alors finalement, je vais le reprendre ce rendez vous supplémentaire....

RDV demain à midi....

Alors... J'avais noté quelques pistes de travail dont "savoir lacher prise" et "profiter sans se poser de question".....
ou tout simplement relativiser.
mon rapport à l'autre reste compliqué car justement, jen'ai pas ce lacher prise. Je m'explique : lorsqque je suis avec ma meilleure amie, je suis moi même, elle me connait mieux que quiquonque....
par contre, avec les "autres", je suis souvent sur la réserve, ne leur montrant pas forcément ma personnalité, ce qui fausse en quelque sorte les relations.
=> travail sur moi même à ce sujet...
puis ma relation avec A, j'ai pu enfin toucher du doigt ce qui me gène depuis quelques temps : il est très proche de sa mère, et m'a dit à plusieurs reprises qu'elle est la seule personne à qui il se confie réellement... et mon malaise, vis à vis de notre relation date pile du jour où il est allé passer du temps chez lui.... parce que, jene me leurre pas, je ne suis pas la petite amie idéale aux yeux d'une maman. je me mets dans la sieutation inverse, mon fils à 25 ans, me dit qu'il a rencontré quelqu'un de 14 ans son ainée, avec 3 enfants et 2 divorces à son actif.... j'avoue qu'en tant que maman, je tiquerai sans doute....
Elle m'a permis une fois de plus de me poser les questions dont j'avais besoin, sans me trouver les réponses, mais ça m'a permis d'avancer un peu......

Ce matin, rdv avec la pédiatre du camsp. J'ai parlé de mes enfants, du début de vie de B, qui a été très compliqué, t elle m'a dit que tout ce qu'on avait vécu avait contribué à la fin de notre couple.
J'ai parlé de tout ça, comme d'hbaitude, en "rationnalisant", en "médicalisant",  et elle m'a demandé si je souhaitais rencontrer une psychologue, moi même... Donnerai je l'impression d'en avoir besoin? c'est en effet encore une blessure ouverte.
A voir pour mon prochain rdv.. reparler de ça.... évacuer..... mais je m'interroge... le fait d'en reparler, encore et encore, ne changera rien sur ce qui s'est passé, ne changera pas la façon dont j'ai vécu cette période. Alors en quoi ça peut m'aider?

En ayant du recul, tu peux peut-être mieux analyser les choses.
Et puis, en parler encore et encore aide parfois à savoir où on en est, comment on ressent les choses maintenant.

 

Up !!

J'ai pris un rdv ce midi... un peu à l'arrache....
Il y a qques jours, quasi sur un coup de tête....

Entre temps, j'ai fait un pas dans le chemin en rapport à ma soeur. Je lui ai preté de l'argent il y a un an, et quand j'ai vu comment elle me traitait (ou plutot le peu d'importance que j'avais pour elle), je lui ai demandé de bien vouloir me rembourser. (1500 euros quand meme, pour quelqu'un qui recommence une nouvelle vie, sans rien, c'est énorme). ele m'a versé 200 euros, et depuis.. rien, plus de son, plus d'image... je trouve ça un peu facile, alors, hier soir, je lui ai fait un message.
Je lui laisse 2 jours pour me répondre, et je lui en envoie un autre.....
Après ça, je demanderai à son mec de me les rembourser.

C'est, jepense, la seule avancée que j'ai faite.... (visible à mes yeux) ... pour le reste.... je verrai avec elle ...

t'avise et pis tu nous dis