Ha les préjugés de la cours d'école
C'est bien ce qui m'inquiète !
Les enfants vont aller dans l'école où leur père enseigne qui est en secteur ZEP (mais ZEP assez tranquille). Cela dit, c'est la foire aux préjugés.
Quand ils sont nés et que l'Amoureux retournait à l'école un peu fatigué et qu'au cours d'une conversation avec ses élèves il explique qu'il se lève la nuit pour donner à manger à ses enfants ils était tous comme ça
QUÔA ! Tu donnes à manger à tes enfants !! Et tu les changes !! Mais et ta femme, elle fait quoi ??!
Bref, ça va être la fête du slip !
Autre exemple, même école, une amie va faire visiter la classe de maternelle à son fils qui rentre aussi l'année prochaine. L'ATSEM lui fait des commentaires : "Alors là tu vois c'est le coin des jouets de garçons (voitures, camion etc) et là c'est le coin des jouets de filles (poupée, dinette)."
Aaargh.
On n'est pas sauvé!
Le point de vu sur l'identification au héros (ou à l'héroine) est très pertinent dans son article. Cela dit, je peux comprendre qu'il n'est pas évident de s'identifier à "Princesse Nunuche"...
Comme héroïne à la maison on a Lili
Un grand classique à la maison !
Emilie aussi :
(Un vieux livre à moi, mais qu'est ce qu'il est drôle !)
Lola :
En héroïne qui revient c'est à peu près tout, mais il y a aussi la grand-mère dans "A la sieste tout le monde" ou Maman dans "J'aime quand Maman" (et son double "J'aime quand Papa")(et Papa qui ne fait pas forcément des trucs tout super viril, par exemple Papa Lion qui se laisse mettre des nœuds dans les cheveux par son enfant
).
J'ai jamais eu l'impression que les garçons accrochaient moins à ces livres là, ils font même parti de ceux qui sont les pluss réclamés (avec Tchoupi malheureusement
).
Je pense qu'avoir les deux avec des héroïnes qui aurait tout aussi pu bien être des héros ça ne gène pas l'identification.
Maintenant, si vous avez des solutions pour arrêter Tchoupi...