cela me semblait vachement interessant
Explication sur Les terreurs nocturnes : 1. L'enfant, à la fin d'un cycle de sommeil lent et profond, s'agite dans son lit, remue légèrement, ouvre les yeux un instant, mâchonne, marmonne un peu et se rendort.
2. L'enfant parle en dormant, tient des discours incohérents de quelques mots (somniloquie). Si on lui pose la question, il ne répond pas.
3. L'enfant au milieu de son sommeil, s'assied dans son lit avec une expression hagarde, regardant dans tous les coins, mais en fait, il est toujours inconscient. Puis il se recouche et reprend son sommeil.
4. Les terreurs nocturnes proprement dites prennent l'allure suivante: l'enfant paraît terrifié. Il pousse des cris, appelle au secours. Les yeux sont hagards et les pupilles dilatées. Il semble pris d'une panique indescriptible. Lui parler, le prendre dans ses bras ne change rien. En fait, il dort et dès qu'il se recouche, il reprend son cycle de sommeil. L'éveiller le met dans un véritable état confusionnel et provoque en lui des réactions «neurovégétatives» désagréables d'où l'angoisse, malaises qui peuvent directement provoquer une multiplication et une prolongation des épisodes ou favoriser le passage à un degré plus sévère. Bien que ces manifestations puissent être spectaculaires pour le parent non averti, ne craignez rien. Elles font parties intégrantes du processus de croissance et ne posent aucun danger pour la santé physique ou mentale du rêveur. Ces quatre degrés de manifestations demandent, à peu de choses près, la même réaction parentale.[/i]
Sur les cauchemards :Les cauchemars ou «mauvais rêves»
Plus communément appelés mauvais rêves, les cauchemars se déroulent dans la phase du sommeil dit «paradoxal» ou sommeil de rêve plus marquant aux petites heures du matin. Ils sont plus fréquents chez les enfants de 5 à 15 ans et perturbent environ 5 à 10% des enfants de tout âge. Cette phase du sommeil revient environ 5 fois par nuit ou toutes les 90 minutes. Lorsqu'il s'agit d'un rêve, il y a des images et une histoire parfaitement repérées par l'enfant. Son âge le permettant, il pourra vous en faire part en détail. Même les tout-petits qui commencent à peine à jaser essaient de vous expliquer ce qu'ils ont vécu. La frayeur peut être très intense, mais contrairement aux terreurs nocturnes, il y a peu de manifestations physiques. Un cauchemar intense amène souvent l'enfant à vouloir se coucher avec vous, à refuser de retourner dans son lit, car il a peur de se rendormir, peur de se recoucher seul et de retrouver le cauchemar. Si la situation se répète, cela risque de devenir une mauvaise habitude. Les parents qui permettent aux bambins en proie aux mauvais songes de se coucher avec eux passent le message suivant: «Si tu te réveilles la nuit, au lieu de tenter de te rendormir seul, tu peux venir nous rejoindre». Ce précédent ouvre la porte à un comportement rapidement intégré qui sera long et difficile à transformer.et si vous avez beaucoup de courage !!
http://www.petitmonde.com/Doc/Article/Terreurs_nocturnes_et_cauchemars