Bonsoir,
Moi aussi je suis prof en maternelle et j'ai été arrêtée à 20SA ou 21SA. J'avais déjà un bide et une fatigue équivalente au 6 mois et demi de ma première pour laquelle j'ai bossé jusqu'a 7 mois et qq . Mais là j'ai un peu insisté par rapport au boulot qui est fatiguant et aussi pcq je suis seule la semaine avec ma fille de 1 an et qq au moment de l'arrêt. (17 mois maintenant). Je suis en arrêt depuis le retour des vacances de paques, puis j'au repris "slt sur le papier" la veille des vacances de juillet pour pas avoir 3 mois de maladie et perte de salaire. Du coup je suis en congés mater depuis le 8 aout sans patho grace aux vacances J'ai meme reussi a decaler de 3 semaines car les conditions de travail (vacances scolaires hiihihi ) me le permettaient, 3 semaines que je recupere avec les jujus qd ils seront là!
Fait le jour de la prérentrée et puis essaie de te faire arrêter si t'es naze, rajoutes-en au gygy, pcq ça sert pas vraiment ta classe et les enfants de te voir seulement qq jours voire qq semaines, autant que tu te stresses pas avec le boulot de la rentrée, car cette année scolaire si tout se passe bien pour toi tu la feras en congé mat et arret de travail pour le bien de tes bébés
Bonne grossesse
BISOUS a une collègue dans le meme cas que moi

Je te réponds en MP, Cat, pas la peine de polluer ce fil.
(et j'ai reçu le tien, de MP, donc j'y réponds dès que je peux)

Au départ c'est ma généraliste qui me faisait des petits arrêts (à cause de la fatigue dont je me plaignais;je tenais toute lajournée sans souci devant mes élèves, je restais un peu à l'école pour corriger, je rentrais pour m'occuper des enfants et à 8h je piquais du nez,donc aucune prep de faite pour le lendemain ) aprés une semaine d'arrêt, je reprenais en pleine forme mais au bout de 2 jours je n'en pouvais déjà plus donc à force plutôt que d'accumuler les petits arrêts (qui en plus agaçaient fortement les parents ) et vu que la SF qui me suivait trouvait ça normal que je sois fatiguée j'ai fini par demander à ma généraliste un arrêt jusqu'aux vacances suivantes (elle trouvait ça mieux pour moi, mais aussi pour mes élèves qui ne cessaient d'avoir des remplaçants ), j'ai alors vu la SF, je lui ai dit que j'étais arrêtée depuis un mois PAR mon médecin et là elle me rétorque "oh oui c'est mieux, elle a eu raison de vous arrêter" purée!!!! et elle qui voulait pas m'arrêter elle est gonflée! Elle m' a alors refait un arrêt d'un mois, puis ensuite jusqu'au congé maternité.

S'il n'y avait pas les élèves à prendre en compte, je te dirais de prendre ton poste, bosser autant que tu peux (sans te surmener) et alors prétendre à un arrêt car vraiment tu n'en peux plus (quite à fondre en larmes car à bout de force et là si ta gygy ne fait rien, c'est qu'elle a un problème )

Si tu  penses que ton généraliste sera plus à l'écoute, tu vas le voir avant la rentrée pour lui dire que tu ne te sens pas apte à bien faire ton travail, que tu as peur de perdre les bébés si tu ne te reposes pas, qu tu es angoissée, que tu as du mal à dormir etc que de touesfaçon, tu ne tiendras pas jusqu'aux prochaines vacances et que pour tes élèves c'est mieux de commencer la rentrée avec l'instit qui fera toute l'année. L'idée c'est d'avoir un mois; ensuite tu feras renouveller par qqun d'autre (un même médecin n'aimepas avoir àdonnertrop d'arrêt

Sinon si finalement tu décides d'accoucher à l'hopital, tu te fais suivre là-bas,(SF les premiers mois sans doute) et peut-être qu'il sont plus sensibles au sujet des grossesses gémellaires que ne l'est ta gynéco.

 

Ne t'occupes pas de l'opinion des autres ; ta grossesse passe avant le reste !
Tant que les choses sont faites avec correction, personne n'a rien à te dire !!!

Autre possibilité: prévenir la secrétaire de l'IEN au plus tard à la pré-rentrée et lui dire d'office que du fait de ta grossesse gémellaire, tu seras trés vite arrêtée (avant la toussaint) et que pour le bien-être des élèves ça serait bien qu'ils mettent un autre PE sur ta classe dès la rentrée, quite à ce que tu fasses des petits remplacements pas trop loin de ton domicile en attendant (ou en sur-nombre dans une école)

bon aprés faut voir, j'imagine que toutes les secrétaires sont pas conciliantes

Je ne veux pas être arrêtée en pointillés !!........................ j'aurais un tas d'ennuis avec les parents d'élèves (j'ai déjà vécu !) et ni pour les élèves ni pour moi cela n'a d'intérêt ............
Quand à mettre quelqu'un d'autre sur mon poste et me faire faire des remplacements, je ne pense pas que cela soit possible .... il faut au moins voir le médecin du personnel pour ça et je ne pense pas que cela soit possible .... et que cela changera-t-il ? je serais toujours debout devant une classe (je ne serais pas assise dans une salle des maîtres toutte la journée à attendre) avec en + le risque d^'être plus loin de chez moi (trajets) ; je travaille à 8 kms de de chez moi, avec si j'ai de nouveaux niveaux (qui changeront tout le temps) de nouvelles préparations à refaire, là au moins je peux m'appuyer sur ce que j'ai préparé pour ma classe pour le début d'année.

Tres bonne résolution

Bien sûr que cela existe (et heureusement !), il y a des personnes malades dans l'Education Nationale; mon époux, dans le second degré, est atteint de deux maladies (qui occasionnent intenses douleurs dos et jambes) et peut tout à fait travailler mais a du demander un aménagement (il était seul en collège ZEP, debout toute la journée dans la cour, à séparer les collégiens de ZEP) du coup il a perdu son poste et tous es points .... mais bon il effectue des remplacements en lycée en tentant de réobtenir un poste. Mais son cas était grave (gros dossier médical). C'est vrai que l'existence de ce médecin est méconnue car lorsqu'on le rencontre, on se demande à quoi il sert ... Mais il n'intervient (apparemment en tout cas) que pour des cas graves (COTOREP, travailleur handicapé ou surement dépression) et pas pour des grossesses (état transitoire pour eux).