Si on ne voit pas la membrane avant ,c'est que le praticien ne l'a pas cherchée assez longtemps !! En renouvelant l'examen échographique 3 jours plus tard, ,en demandant à la future mamn de changer de position sur la table( une fois couchée sur le dos, une fois couchée sur le côté gauche ,et une fois couchée sur le côté droit) et on recommence . ä 12 S.A. ,on est "sensé " avoir un diagnostic de chorionicité correct, avec aussi l'amniocité. Si on suspecte une monoamniotique ,la patiente est dirigée vers un centre universitaire dès ce terme ,qui confirme le diagnostic et assurera la suite du suivi si confirmé.
Si il y a un compte-rendu d'échographie signalant monochorial, il y avait un seul placenta. Si le compte-rendu de l'accouchement signale 2 placentas fusionnés, c'est malheureux que le placenta n'aie pas été analysé en anatomopathologie. Si le compte-rendu écrit ( pas les paroles d'un médecin) de l'accouchement ne dit rien, on reste sur un placenta.
L'équipe d'obstétrique qui ne veut pas discuter avec l'échographiste de divergeance constatée et qui refuse d'avoir l'avis du pathologiste, ça existe. Ben ,oui ,c'est "futile"; les enfants sont en bonne santé, le reste ne compte pas. Même si c'était la seule possibilité d'avoir une certitude, c'est qualifié de "futile". Normal ,l'examen d'ADN ( qui donnera une haute probabilité ,mais pas de certitude!) que les parents pourraient payer de leurs poches rapportera plus économiquement que de se faire .... à remplir le formulaire spécial en salle d'accouchement pour le placenta ( examen qui est difficile à facturer, puisque c'est un pathologiste intéressé qui va faire l'examen et l'inclure dans une éventuelle étude... ...)
C'est ça .le problème !