Bonjour,
Le récit est long mais j'ai besoin d'aide ...
Je suis l'heureuse Maman de M@non et Cl€ment depuis le 21 septembre dernier.
J'ai toujours souhaité les allaiter.
Je vis, depuis le début, un allaitement très compliqué.
A la maternité, j'ai été "forcée" de donner des biberons de complément à M@non dont le poids était passé de 2,505 à 2,260 kg. J'ai "travaillé dur" pour repasser en exclusif.
Des crevasses dès le départ et récalcitrantes font que j'allaite avec bouts de sein.
J'ai vécu tous les pics de croissance mais j'ai persévéré.
La plus grosse de mes difficultés depuis mi-décembre est
les canaux lactifères qui se bouchent.
En conséquence, le lait ne peut pas être exprimé correctement.
J'ai tout essayé ... le chaud, le froid, l'expression manuelle sous la douche, les positions d'allaitement les plus invraissemblables et les moins confortables, le tire lait ... je suis même repassée de 4 TT / jour / enfant à 5 pour éviter de laisser les seins se remplir trop.
J'ai déjà consulté plusieurs fois des médecins, ai atterri aux urgences ...
avec pour seule et unique réponse : "passez ce cap et arrêtez l'allaitement !".
J'ai vu une conseillère en allaitement qui m'a conseillé THE tire-lait ... il a été mon pire ennemi.
Depuis plus d'1 semaine, le problème ne se solutionne plus ...
Je vis sous Doliprane avec des boules dures et douloureuses dans les seins (principalement localisées sur le haut). La douleur me donne mal à la tête et me fatigue énormément.
Je les fais téter souvent sans trop pour pouvoir vider sans provoquer une "sur-lactation".
Je voulais même essayer de passer en mixte pour baisser le niveau général de lactation.
Bref, je suis au bout du bout
J'adore allaiter même si ça a souvent été le parcours du combattant mais je souffre physiquement et moralement.
J'ai même commencé à réfléchir à l'idée de faire stopper la lactation par voie médicamenteuse
Mon mari qui a toujours soutenu mon choix d'allaitement vit mal de me voir souffrir.
Je ne trouve personne qui m'accompagne réellement dans la résolution de ce problème.
Sans vouloir être emphatique, vous êtes ma dernière chance ...