Bonsoir,
Elle m'a donné un tas de conseils pratiques, notamment de ne pas le forcer à écrire, faire un Max à l'oral, trouver des aménagements en classe pour l'aider , pour qu'il ne se crispe plus sur son écriture. Elle m'a dit aussi que les enfants dyspraxiques n'ont pas la mémoire du geste et qu'il ne sert absolument à rien de faire des lignes.
Sn intelligence fait qu'il lit en nous, anticipe nos réactions, il nous faut le surprendre et aussi tenir nos paroles car lui se souvient de tout. Par ex, si un matin il n'est pas prêt pour l'école, et bien il y va en pyjama !! Ou bien il reste à la maison et devra s'expliquer auprès de sa maîtresse. Il devrait comprendre. On testera !
mon fils, 15 ans est dyspraxique
je n'ai pas de fil dédié où tout es relaté mais tu peux retrouvé sur quelques fils du forum des pistes
donc oui, ça ne sert à rien de faire recopier : et en plus à le faire recopier, il va se "fatiguer" et l'écriture sera de pire en pire... pas valorisant tout ça
mon grand est aussi précoce, ça ne se voit pas de suite
mais cette année, année de reconnaissance de son souci, les notes ont survolées.
De derniers (ou presques), il est passé tête de classe.
Il y a un an, on ne misait même pas sur lui pour avoir le brevet, il l'a eu avec mention !
Il est super à l'aise en parole, et mature. A l'épreuve des histoires des arts (épreuve orale), il a eu 19 ! et aux oraux de ses rapports de stage (3 en tout), pas une note en dessous de 18.
Ses maitres de stage ont été très élogieux.
Bref, il s'épanouie enfin !
Pour le pyjama à l'école, il y a été en ce1 ou ce2 ainsi. Monsieur voulait de la marque comme un copain . Il a refusé de s'habiller. Tant pis pour lui.
Avec ce genre de gosse, ne pas "négocier", tu t'en sors pas. Ils sont malins , très.
Avec mon grand, je lui dit que j'ai décidé ainsi, je suis l'adulte qui décide dans cette maison (avec son père) et que c'est ainsi même si j'ai tord ( voilà, je peux avoir tord aussi...)
Mais en grandissant, la discutions est plus simple , bien que... J aurai tendance a tout organisé (sortie) et me mettre devant le fait accompli (et ça , il m'agace)