ça me rappelle ma princesse.... elle a toujours été très demandeuse des bras, de câlins, de bisoux et maintenant elle continue, il faut tout le temps qu'on la regarde et qu'on lui dise que c'est bien. Besoin d'attention et de reconnaissance...
Maintenant Samuel a été un peu malade, peut-être qu'il a encore besoin de se sentir rassuré?

C'est pas cool de commencer la journée en étant tous fâchés...
 

Le bât, c'est une sorte de double panier que l'on fait porter aux ânes... quand les paniers sont chargés, c'est très lourd, et même la peau résistante de l'âne est entamée, aïe, aïe, aïe...

Bon, bon, je sors de ma minute-confiture (la culture, c'est comme la confiture, tout ça , tout ça...)...

Et avec une écharpe/sac à bébé pour avoir les mains libres?
Quand les filles ont eu la varicelle, Zhom a été tellement demandé qu'elles voulaient qu'il dorme avec elles... Donc nous avons créé dans la chambre un coin pour papa, entre les deux lits, avec matelas et tout, et les filles pouvaient lui tenir les mains...
Quand vraiment la situation est intenable, elles finissent même par dormir sur son matelas...
Zhom réussit quand même à bien dormir:
1/ parce qu'on peut jouer du clairon, quand il dort, ben il dort
2/ parce qu'il est là, donc elles ne crient pas, et se rendorment seules
3/ il a toujours eu la faculté de dormir absolument n'importe où

Ca me permet de faire enfin une bonne nuit (et j'ai le lit pour moi toute seule, yahou), et les petites restent dans leur chambre et ne squattent pas notre lit...

Plein de pensées de réconcilliation 

 

courage pour ton boulot ma Suzy...
 

Oui, c'est aussi de là que vient l'expression "un âne bâté", mais aussi une autre expression " si de beaucoup travailler on devenait riche, les ânes auraient le bât doré"...
Le bast au Moyen-Age, c'est la charge, ce qui est transporté. Ensuite, le sens a évolué vers l'ensemble des brides qui soutiennent les paniers, puis ça a désigné l'ensemble du barda...

Suzy, pour la nuit pourrie, je compatis, parce que là, on en a eu une bonne, celle-là, elle rentre d'office dans le Top5 des nuits les plus pourries...
Morgane devait cauchemarder, et elle nous a réveillé toutes les demi-heures... sauf qu'elle dormait en hurlant! Et devinez qui est en pleine forme avec un joli visage tout reposé, tout rose ce matin? Inutile de dire que Zhom, Tiphaine et moi pouvons postuler pour la tribu des Yeux-Noirs, tellement nous avons de cernes... Merci ma fille, je t'aime...
 

Maiiiiis... quand est-ce qu'on a de vraies bonnes nuits avec plus jamais de nuits pourries?

"Si, de nos jours, "avoir du pain sur la planche" signifie avoir en perspective beaucoup de tâches fastidieuses à accomplir, le sens de cette expression était bien différent à la fin du XIXe siècle. Cela signifiait que l’on avait assez de réserves pour affronter l’avenir. Effectivement à cette époque les paysans préparaient de grandes quantités de pain qu’ils conservaient sur une planche de bois fixée au plafond. Par la suite, l’expression a pris le sens "d’avoir de quoi vivre sans devoir travailler". Le sens actuel "avoir du travail en réserve" semble n’être apparu qu’au début du XXe siècle. Pourtant, une autre explication plausible a déjà été formulée quant à l’origine de cette expression. Au XIXe siècle, le tribunal distribuait les rations de pain aux accusés qui devraient s’acquitter de longues peines de travaux forcés. C’est de là que viendraient les idées de longueur et de pénibilité formulées dans cette expression.
Une autre hypothèse se base sur l'expression ait été "du pin sur la planche" et fasse référence au menuisier travaillant une planche de pin."

Voilà, voilà...

ben je vois où on doit venir quand on se pose des questions sur une expression!   
Merci Camillou, j'adore savoir d'où viennent les mots et expressions!

C'est chouette pour ton boulot Suzy!

rha ouais, j'ai bu un coca, je vais aller me faire un thé bien fort et me plonger dans l'art abstrait ( )..... dur dur...