Coucou les filles !
Merci de ne pas avoir été trop bavardes
Lyon est sous la neige depuis lundi. Certains collègues n'ont pas pu sortir de chez eux mardi et hier plusieurs sont rentrés plus tôt pour être sûrs de ne pas passer le week-end dans la société. Là il reneige à nouveau, on doit avoir 15-20 cm dans le jardin.
A Paris, c'était très bien, autant la réception mercredi aprèm que la grosse réunion que j'ai eue le jeudi. J'ai revu tous mes anciens collègues, c'était super sympa. Seul hic à mon voyage, je n'ai pas aussi bien dormi que je ne l'espérais car l'hôtel surplombait la gare de Lyon et la nuit ce n'est pas paisible du tout dans ce coin là. Et au retour, soucis de RER, trains retardés, bref, je suis arrivée chez moi à 20h45 au lieu de 19h30. J'étais super crevée et je le suis toujours. J'ai fait une sieste tout à l'heure, j'en referai certainement une demain.
On prend un nouveau rythme petit à petit mais ce qui me fait rager c'est que c'est moi qui vais me taper pratiquement tout à la maison, tout comme quand j'étais en congé parental, car je rentre plutôt que mon mari le soir, j'ai donc le temps (en me pressant un peu quand même) d'étendre le linge, plier le linge, faire réchauffer le repas prévu la veille, prévoir les vêtements des loulous pour le lendemain etc. Mon mari rentre vers 19h15, regarde les loulous manger, joue avec eux, les couche. Bref tout comme avant en un peu plus tôt. Il les voit un peu moins longtemps le soir mais peut en profiter le matin car on s'en occupe tous les 2. Après notre repas, faut que je le secoue pour qu'il donne un coup de main pour plier le linge s'il en reste sinon il file droit devant la console
Bon, j'arrête de me plaindre, ce matin il a nettoyé les vitres du salon (il avait peint dessus avec la bombe à neige pour Noël) et passé l'aspirateur. Les vitres sont toutes dégueu car il n'a pas pris ni le bon produit (en a-t-il seulement pris un ?
on voit les grosses traces d'éponge
) ni le bon chiffon (y a des pluches sur les vitres)... je ne vais rien dire hein, il l'a fait de lui-même et faut pas que je le coupe dans son élan !