ou alors la petite a le béguin sur G

Je ne sais pas comment il faut le prendre Mary 

Je dirais plutôt: c'est pas son truc cette fille 

 
je ne pensais pas à ça...
juste que à 9 ans quand je parle à Alexis des filles il prend la mouche  et m'envoie balader ça ne l'interresse pas du tout (pour l'instant) c'est ce que je voulais dire...

 

t'as raison, faut leur laisser vivre leur vie

Biz

Rhoooo, lâche lui la bride !   

Moyenne de mon gnome 12,73   
avec un zéro en sport pour avoir oublié son matériel x et x fois   
avec un "carton" en vie scolaire pour son joli contrat 
De toutes façons, il n'a pas envie de faire mieux... et je ne veux pas de guerre permanente à la maison pour des résultats. Alors, ça me va très bien.
Le seul truc qui me fait râler est qu'il perd des points sur des broutilles    Les matières principales ont de bonnes moyennes. Les bases s'acquièrent 

   il y a une épidémie de Nicolas 

La "tronche" de la classe à Guilhem s'appelle aussi Nicolas    Tout pareil, il est intouchable. Mais ce gosse ne vit que pour çà. C'est une future bête à concours ce gamin. Tout comme l'était sa maman au même âge (elle était scolarisée avec zhom).

Je conseille toujours à Guilhem de ne pas se comparer à lui, ils ne jouent pas dans la même cours. Ce style d'émulation ne stimule pas Guilhem.
Je lui demande juste se comparer avec lui même "ai-je été cohérent sur ce devoir, ai-je été à mon niveau, aurais-je pu faire mieux".

Et je conseille à zhom de ne pas le comparer au reste de la classe. Il a trouvé sa vitesse de croisière, il la garde, c'est déjà pas mal.

Tss tss, pour çà, il faut s'appeler Nicolas  Et non, ce n'est pas une blague.
D'un côté tu as les gamins méticuleux, maniaques pour certains, appliqués, qui ne feront pas un mot de plus et surtout pas un mot de moins dans un soucis de précisions, de plaire au prof (pas dans le sens lèche bottes, on se comprend), etc..
D'un autre, tu as ceux pour qui sans trop forcer ça roule seul    pourquoi se casser la tête !!


J'ai des souvenirs d'ennui mortel de vers la 4° jusqu'à la fin de ma scolarité, y compris professionnelle. Ce que j'ai pu m'emmerder et glander, même en école d'infirmière. L'impression de toujours entendre la même chose, de tourner en boucles, de ne jamais avancer.
Maintenant, je serais goulue de formations. Avec modération car il faut organiser autour de mes courtes absences. Car je me sens actrice et non simple fantôme tenue de rester assise sur sa chaise.