kina
|
|
« le: 01 Décembre 2011 à 09:05:59 » |
|
Bonjour, je ne suis pas dans le cas mais ma meilleure amie était enceinte de jumeaux il y a 18 mois, pour elle c'était son pire cauchemard (elle est elle même jumelle dizygote), ce qui la repoussait était juste la charge de travail (hors faire à manger pour 2 ou 3 (elle a un garçon de 6 ans), donner le bain à 2 ou 3 j'étais convaincue que ça ne changerait pas grand chose mais bref) j'ai tout fait pour la rassurer mais rien n'y a fait, elle a fait une réduction embryonnaire pour passer de 2 à 1 (ça a été très dur pour moi car mes louloutes avaient 1 mois et j'étais la maman la plus comblée du monde, soit ...) Sur le moment j'ai discuté avec elle des conséqences d'un tel secret de famille, pour moi elle doit en parler très vite à sa fille, car inconsciemment elle va ressentir quelque chose, et si elle apprend tout à l'adolescence ça va lui péter à la figure !!! Lors de sa grossesse elle disait toujours qu'elle ne le cacherait pas, qu'elle lui expliquerait son choix, hors personne à ce jour n'est au courant de cette histore sauf moi et une ou deux autres copines, sa famille n'a jamais su et évidemment maintenant elle ne veut plus le dire ... En plus ma copine y pense très souvent, des jours elle regrette d'autres pas mais elle n'est pas à l'aise avec sa décision. Alors, qu'en pensez-vous ? faut il cacher à jamais ou faut il en parler Qu'est ce qui est le mieux pour l'enfant
|
|
|
Journalisée
|
Maman de Lilette et Effy nées à 36+6 sa (dizygotes) en juillet 2009 (2.8 kg et 1.670 kg) Allaitement de 1 an !!!
Effy souffre de bronchectasies
|
|
|
Mowgli44
|
|
« Répondre #1 le: 01 Décembre 2011 à 10:04:03 » |
|
Il y a longtemps qu'elle a eu sa fille??? Il me semble que la réduction embryonnaire n'est proposée qu'à partir de 3 embryons.
|
|
|
Journalisée
|
|
|
|
van
|
|
« Répondre #2 le: 01 Décembre 2011 à 10:20:02 » |
|
Cela se fait dans certains hopitaux mais c'est assez rare.........J ai fait une RE de 3 à 2 et j en ais parlé à P et R lorsqu ils sont nés et dans leurs premiers mois de vie. Ils pleuraient beaucoup et j ai pensé qu il fallait leur parler, de leur naissance, la neonat, ma grossesse et la RE C'était trés dur pour moi aussi car c'est une décision difficile et culpabilisante !
Maintenant je n en parle plus avec eux car ce serait trés dur pour eux à imaginer ! "maman et papa ont "tué" notre frère/soeur"........... L expliquer petit est je pense nécessaire, ils entendent et comprennent après je pense qu il vaut mieux ne plus en parler ou bien beaucoup plus tard .............
c'est mon point de vue mais je ne sais pas ce que les psys peuvent en penser !
pour ton amie, elle qui est jumelle, toi qui en a...........cela doit être trés dure à assumer avec le recul, il lui faut peut être du temps et aller voir qqun pour en parler et tenter d effacer cette culpabilité avant de pouvoir en parler à sa fille et comprendre aussi pourquoi pour elle avoir des jumeaux étaient autant inimaginable !
|
|
|
Journalisée
|
maman de trois garçons T 9 ans, P et R 4 ans
|
|
|
kina
|
|
« Répondre #3 le: 01 Décembre 2011 à 11:00:39 » |
|
Il y a longtemps qu'elle a eu sa fille??? Il me semble que la réduction embryonnaire n'est proposée qu'à partir de 3 embryons.
sa fille à 18 mais maintenant, on est de Belgique, ça change peut être de chez vous ? En tout cas sa gynéco n'a pas été tendre avec elle, elle a carrément refusé de faire la réduction et elle l'a envoyé chez un de ses confrère, et en plus par après elle lui a dit que celui qui était parti était aussi une fille, alors qu'elle ne voulait rien savoir (pas très professionnel !) Il lui a bien dit que dans la grande majorité des cas les parents qui passaient de 2 à 1 le regrettaient très souvent par après mais elle ne voulait rien entendre, trop de boulot et un couple pas solide du tout du tout, son mari qui la prévient que si elle garde les deux il ne l'aidera pas (sympa hein le mari ?) Enfin bref, j'avoue avoir mal vécu cette histoire même si ça ne me regarde pas mais bon, en tout cas je pense (ou je me trompe peut être) qu'il faut le dire car un jour ou l'autre ça se saura de toute façon et là ça fera très très mal !!!
|
|
|
Journalisée
|
Maman de Lilette et Effy nées à 36+6 sa (dizygotes) en juillet 2009 (2.8 kg et 1.670 kg) Allaitement de 1 an !!!
Effy souffre de bronchectasies
|
|
|
van
|
|
« Répondre #4 le: 01 Décembre 2011 à 14:41:23 » |
|
je pense qu il est un peu tard pour lui dire maintenant à 18 mois...........Il faudra peut être lui dire plus tard ou voir maintenant un psy ensemble les parents et la petite !
je suis ass mat, et en formation la psy nous a raconté une histoire un peu semblable..... Une maman était enceinte de jumeaux, elle en a perdu un. A la naissance, ils n ont rien dit au petit ni après......Et vers 3 ans l enfant était trés replié sur lui même, trés craintif et il cherchait toujours qqun...........Ils sont allés voir un psy et de l unique séance est ressorti que le petit savait qu il avait un jumeau............... cela a permis d en parler, et d'expliquer ! bien sur c'est un peu différent car là les parents n ont pas décidé d en enlever un ..........
Conseille lui d en parler avec un psy d'abord puis d'éventuellement y emmener sa fille !
|
|
|
Journalisée
|
maman de trois garçons T 9 ans, P et R 4 ans
|
|
|
flo31
|
|
« Répondre #5 le: 01 Décembre 2011 à 18:10:11 » |
|
Si elle n'est pas à l'aise avec sa décision, alors le problème de la parole se posera à un moment ou à un autre car, à l'évocation de la grossesse, sa fille finira par ressentir qu'il y a un malaise, quelque chose qui bloque et c'est là que ça peut devenir un secret de famille qui pèse lourd dans le quotidien de sa fille. Si, par contre, elle ne doute pas d'avoir pris la décision qui s'imposait pour elle, alors je pense que le ressenti, plus tard, de cette grossesse ne devrait pas spécialement poser de problème. La parole sera alors plus facile quand elle aura en face d'elle une fille adulte ou sur le point de l'être. Voilà pour mon avis (je m'appui un peu sur l'histoire d'une maman rencontrée il y a peu).
|
|
|
Journalisée
|
S 2002 - N & D 2005 Mais tout peut changer. Aujourd'hui est le premier jour du reste de ta vie. (Etienne Daho)
|
|
|
drôledoiseau
|
|
« Répondre #6 le: 01 Décembre 2011 à 21:57:15 » |
|
Bonjour,
J'ai pour ma part perdu un jumeau. Le bébé n'est pas encore né, c'est pour avril, mais je me pose pas mal de question. Ils sont tous les deux dans mon ventre jusqu'à la fin, et même si le décès s'est passé assez tôt dans la grossesse (dans le quatrième mois), je pense que j'en parlerai à mon bébé quand il naîtra (enfin, s'il naît et si tout va bien car il y a un gros risque de lésions cérébrales après la mort d'un jumeau in utero, j'ai une grossesse mon bi...)
Bref, si tout se passe bien, on lui en parlera, mais je me demandais comment... pour ne pas culpabiliser l'enfant qui reste et qu'il se pose à l'adolescence notamment, des questions existentielles du type pourquoi lui et pas moi etc.
J'imagine à quel point le cas de la réduction embryonnaire doit être difficile à assumer devant l'enfant qui est là, mais je suis assez d'accord avec ce qui a été dit, ça dépend surtout du ressenti des parents. Rien de pire qu'un non dit qui ronge l'âme pendant des années, jusqu'à ce que ça éclate...Donc avant tout, je crois que les parents doivent régler leurs problèmes pour pouvoir parler sereinement à leurs enfants de leur passé.
|
|
|
Journalisée
|
|
|
|
Annna
|
|
« Répondre #7 le: 01 Décembre 2011 à 23:43:53 » |
|
Ma situation est un peu différente, mais je vais vous donner mon ressenti en tant qu'enfant :
Ma mère a eu une fausse couche juste après ma naissance. Mon père a perdu un enfant âgé de 3 ans, noyé, avant ma naissance. Ni l'un ni l'autre ne m'en ont parlé.
Ma grand mère m'a raconté la fausse couche de ma mère quand j'étais enceinte. J'ai trouvé normal que ma mère ne m'en ait jamais parlé. Cela ne m'a pas affecté. J'ai considéré que ça concernait sa vie de femme et non pas ma vie d'enfant, que m'en parler pendant mon enfance m'aurait probablement perturbée. Ma grand mère ne m'en aurait pas parlé, je ne l'aurais jamais su et ce n'aurait pas été grave.
J'ai découvert à 15 ans l'existence de ce frère décédé, à cause de ma manie d'écouter aux portes. C'est un tabou absolu dans ma famille et je ne connais même pas les circonstances exactes de son décès. J'ai été très choquée qu'on ne m'en ait jamais parlé. J'ai l'impression d'avoir toujours su qu'il a existé. J'ai l'impression que son souvenir plane sur notre famille et que c'est pour cette raison que j'aurais dû en être informée. Ce que je veux dire c'est que ce décès a transformé la façon de penser et d'agir d'une partie de ma famille. Ne pas m'en parler, c'est m'exclure de cette histoire familiale toujours présente, c'est ne pas mettre de mot sur ce fantôme et ces craintes que je perçois depuis que je suis toute petite.
Conclusion : pour moi, il faut en parler à l'enfant vivant si le souvenir de cet enfant décédé est vivace. Car dans cette circonstance, l'enfant vivant va sentir ce mal être sans en connaître la cause.
|
|
|
Journalisée
|
|
|
|
Annna
|
|
« Répondre #8 le: 01 Décembre 2011 à 23:45:36 » |
|
En gros, je suis d'accord avec Flo31
|
|
|
Journalisée
|
|
|
|
titecaramel
|
|
« Répondre #9 le: 01 Décembre 2011 à 23:51:35 » |
|
J'ai également fait une RE pour passer de 3 embryons a 2. J'en ai parler a mes enfants (les jujus + ma grande). Je ressentais le besoin (et j'en ressens encore) de leur dire , surtout au jumeaux. Et si plus tards ils me poseront des questions, je ne leur cacherais rien
Ma mere a mis au monde ma grande soeur qui etait mort née, et par la suite a eu 4 autres FC tardives. Elles nous en a toujours parler, ca ne ma pas affectée, mais c'est l'histoire de notre famille. C'etait peut etre ausis un besoin pour elle.
pour la reduction de 2 a 1 (de 3 a 1 chez moi) on me lavait aussi proposé..
|
|
|
Journalisée
|
Maman de T, 5 ans & d'O et J 2 ans nés à 30 SA + 4... Une pensée pour mon tit Angebryon, partie le 26 novembre...
Que du bonheur !
|
|
|
marinette
|
|
« Répondre #10 le: 02 Décembre 2011 à 08:30:50 » |
|
Conclusion : pour moi, il faut en parler à l'enfant vivant si le souvenir de cet enfant décédé est vivace. Car dans cette circonstance, l'enfant vivant va sentir ce mal être sans en connaître la cause.
Je suis entièrement d'accord avec Anna. Les secrets de famille empoisonnent littéralement. Alors c'est sûr qu'on n'auras pas les mêmes mots à 3 mois, 3 ans ou 15 ans, mais l'intelligence émotionnelle de l'enfant est la même, je ne crois pas qu'il y ait un âge en dessous duquel il ne faille rien dire. Son malaise sera tout aussi présent. Ceci dit, pour un petit, je pense qu'une aide extérieur afin de trouver des mots justes et adaptée est sûrement bienvenue. drôle d'oiseau, je suis née la même année que mon cousin. Lors de sa naissance, ma tante a perdu sa soeur jumelle pendant l'accouchement. Cette situation a été cachée à mon cousin, mais pas au reste de la famille. C'était un tabou pour lui. Moi je le savais, et à 7 ans, lors d'un jeu où nous discutions tout naturellement je lui en ai parlé. Je ne savais pas qu'il n'était pas au courant. Il a été intensément soulagé et m'a dit "merci de me l'avoir dit, merci beaucoup. je sentais la mort autour de moi et je ne savais pas pourquoi". A seulement 7 ans. Et je suis persuadée que même tout petit il le sentais déjà. Le danger de ne rien dire, c'est que justement l'enfant imagine des trucs affreux par manque d'informations. Là, le simple fait de poser les choses lui a permis de se libérer de ces angoisses de mort qu'il avait et de pouvoir avancer. Il n'y était pour rien, et ce climat morbide ne le concernant pas lui mais un autre bébé. Il a aussi pu faire son deuil. Je pense que le corps sait. Les bébés ont vécu ensemble dans le ventre, c'est gravé dans leurs cellules.
|
|
|
Journalisée
|
Un jour, un petit dinosaure a fait de moi une maman. Puis un tigrounet a repoussé mes limites. Deux petites koalas m'ont offert de m'accomplir, et une petite souris profite de tout ça !
|
|
|
Mowgli44
|
|
« Répondre #11 le: 02 Décembre 2011 à 12:23:34 » |
|
Oui quoi qu'il arrive les enfants savent, moi j'ai perdu mon père quand j'avais un an, et j'avais 10 ans quand mon cousin m'a dit que c'était un suicide... Et comme le cousin de marinette j'ai été soulagée parce que personne ne m'en parlait, d'ailleurs c'est toujours le cas. Au fond de moi je le savais, ça n'a pas été une surprise. J'ai aussi un cousin qui a perdu un jumeau in-utéro, au premier trimestre, et je ne suis pas sure qu'il le sache... Il a dans les 22 ans. Par contre tout le monde est au courant dans la famille.
|
|
|
Journalisée
|
|
|
|
ENOANE
|
|
« Répondre #12 le: 03 Décembre 2011 à 16:47:40 » |
|
Bonjour,
j'ai fait une re il y a un mois exactement et il est hors de question d'en parler à mes filles de 8 ans et cinq ans pour le moment, je souhaite toutesfois leur dire toute la verite quand elle seront capable de comprendre reelement. Et les deux bebes et bien je ne leur cacherais pas non plus c'est clair.
J'ai vu un psy qui m'a dis que cétait très bien et qu'il ne fallait pas le cacher, bcp de cas que mon psy a vu ou les jujus (dans le cas de triples) ou l'enfant seul (dans le cas de juju) a un manque toute sa vie.
Certains enfant fesait completement abstraction de tout ce qui touchait au choffres trois par exemple. etc..
Du coup j'ai été rassuré, car c'est un poid supllementaire que je ne supporterais pas de cacher à mes enfants je ne leur ai jamais rien cache depuis toute petite mes filles savent que les gens meurent et qu'on les enterre et elle sont très equilibré et tout.
Après la decision appartient à chacun, il n'y a pas de solution type le psy me disait que tout depend du vecu, des cas, des sentiments de la maman, de sa facon de voir l'éducation, c'est donc assez personnel, mais au fond de notre coeur je pense que nous savons chacune ce que nous voulons faire.
|
|
|
Journalisée
|
Le plus beau cadeau de la vie c'était le 23 avril 2012 !Thomas et Ambre nés à 36SA! 2,580kg et 2,570kg! Ma petite étoile Gabriel veille !!!!!!!!!!
Merci à mes mamans adorées de Mai 2012 et maraine ZAZA pour cette aventure unique!
|
|
|
caropauline
|
|
« Répondre #13 le: 04 Décembre 2011 à 07:10:48 » |
|
Bonjour,
j'ai aussi eu une RE de 3 à 2, il y a bientôt 3 ans. Comme l'ont dit déjà certaines personnes, pour ma part je pense que le vécu y est pour beaucoup dans la suite des événements et les "possibles conséquences" dans l'avenir.
Je ne vais pas dire ici ce qu'il faut ou pas faire mais raconté mon propre vécu et la façon dont j'ai abordé et j'aborderai le sujet dans l'avenir. Déjà pour moi, dés le départ, il était important de ne pas en faire un Tabou, et de pouvoir m'exprimer librement sur notre décision. Je ne voulais pas être seule avec mon conjoint à partager cette douleur, parce qu'au début c'était ça et je ne voulais surtout pas renier celui qui avait existé! J'ai eu effectivement de la chance que notre décision est été "accepté" sans jugements dans mon entourage ( et je pense qu'il en aurait été de même si on avait choisit de garder les 3), comme pour moi cela faisait parti de leur histoire, j'ai écrit un mot sur leur album de naissance à chacun pour expliquer. Pendant ma grossesse, je me suis faite accompagnée par une psychologue, pour ne pas avoir par la suite de valises à trainer. Chez nous, ce n'est pas un secret, mes enfants n'ont que 4 et 2 ans, je leur en parle pas ouvertement car ils sont encore petits pour comprendre mais le sujet a souvent été évoqué en leur présence, on vit bien notre choix donc je pense qu'il n'y a pas de raison qu'ils le vivent mal.
Si j'ai un conseil pour ton amie car elle n'a pas l'air d'avoir fait son " deuil" c'est qu'elle puisse faire un travail avec un professionnel.
Récemment je suis tombée sur un article qui évoquait les conséquences psychologiques de la RE, et j'avoue qu'il m'a autre que peiné, il m'a fortemment contrarié car je ne suis certainement pas la majorité des mamans mais je n'ai pas du tout aimé le ton de l'article qui en gros et je caricature montrait un fort impact psychologique dans l'avenir sur la fratrie d'un tel choix.
|
|
|
Journalisée
|
Maman de P (06/2007) et de Q et M ( 06/2009) Naissance : M 2kg640 pour 47 cm Q 2kg885 pour 47 cm ( 38sa+6j)
|
|
|
caropauline
|
|
« Répondre #14 le: 04 Décembre 2011 à 07:29:50 » |
|
Désolée obligé de couper mon texte car je ne vois plus ce que j'écris Pour ma part, je ne me suis pas du tout retrouvé dans cet article et j'aurai voulu dire aux autres mamans qui vont vivre ou qui ont vécu une RE ( certes mes enfants ont 2ans et demi, certains diront qu'il est encore un peu tôt pour se prononcer pour l'avenir) que même si cela restera partie intégrante de notre histoire de vie ( comme il en est de même de plein d'autres moments traumatiques dans la vie), je pense que nous vivons bien notre choix et qu'il n'y ai pas de raison qu'ils n'en soient pas de même pour mes enfants. Depuis, que je suis ce forum, j'ai vu passé beaucoup de mamans confrontés à ce choix, et je trouve qu'il y a un réel travail à faire autour de l'accompagnement des futurs parents, autre que de dire il " faut prévenir les grossesses multiples de haut rang" ( c'est à dire par rapport à la PMA, réduire les risques en évitant par exemple l'implantation de plus de 2 embryons) , il faut pouvoir donner toutes les informations claires concernant la RE mais aussi sur les grossesses de haut rang sans que le praticien n'engage son jugement afin que la famille puisse faire un choix éclairée et qui ne concerne qu'elle et non les souhaits ou la pression médical. Que le choix soit de faire ou non une RE, cela permettra déjà dans un premier temps à la famille d'être en accord avec son choix et je pense "mieux vivre la suite de évènements " qu'il soit ou non de faire une RE.
|
|
|
Journalisée
|
Maman de P (06/2007) et de Q et M ( 06/2009) Naissance : M 2kg640 pour 47 cm Q 2kg885 pour 47 cm ( 38sa+6j)
|
|
|
|