J'ai fini Room, dont j'ai parlé quelques messages plus haut. Un roman très chouette passées les premières pages et le temps d'adaptation au style. Comme j'ai dit, sur la relation très particulière d'un garçon de 5 ans et de sa mère. l'histoire est racontée par l'enfant, dont, adopte sa manière de parler, c'est ce qui m'a posé problème au début. Et puis, j'ai écouté mes filles parler, et je me suis rendu compte que le style enfantin était plutôt bien imité!

En résumé : je recommande, mais je ne peux faire passer, car une libraire me l'a prêté.

Moi, ma BS ne 'la pas aimé finalement ! elle n'aimait pas l'ambiance, ça la stressait... moi, j'ai bcp aimé !

J'ai lu en 3 jours la Sérénade d'Ibrahim Santos, paru tout récemment et publié par une éditrice tunisienne.
Magnifique roman sur la dictature et ses méfaits, mais raconté comme une fable, comme un conte, avec juste ce qu'il faut de magie pour le rendre hors du temps, hors de la géographie (et pourtant, décider de publier ça en Tunisie alors que la révolution n'avait pas encore eu lieu, c'est assez fort je trouve!)

Bref, je conseille à toutes celles qui ont aimé Le coeur cousu, je ne sais pas pourquoi, mais ce roman bien que plus léger m'y a beaucoup fait penser.

Véro: bien reçu Erlendur aujourd'hui merci

  v's'avez pas bientôt fini de me faire rager avec le volume suivant d'Erlendur? j'essaye d'avoir la patience qu'il sorte en poche... (ça me parait trop bête d'aller m'inscrire juste pour lui à la bibli du coin: si jamais ils l'avient pas? )

Je viens de commencer Le livre sans nom.

1ère "déception" : il est écrit au moins 4 fois en 2 pages "une voix rocailleuse"...

Bon je continue quand même, mais ça m'énerve, l'auteur aurait pu trouver des synonymes, non ? 

Ouais tu as raison. Et c'est pas drôle Parce que du coup rien ne me plait (ah si le dernier Jean Paul Dubois  )

Je vais finir par me rabattre sur Proust 

Ayé café bu, je reviens 

J'en avais parlé plus haut. C'est l'histoire d’une femme amnésique depuis plus de 20 ans, qui se réveille tous les matins avec ces 20 ans de moins, ne sachant pas toujours qui elle est, encore moins où elle est et qui est cet homme à côté d'elle (son mari). Sur les conseils d'un thérapeute, elle écrit au quotidien un journal. Le matin, le thérapeute l'appelle pour lui dire où trouver son journal, qu'elle lit. Et tous les matins, elle se redécouvre. Elle constate que ses écrits diffèrent de ce que lui raconte son mari.
Le livre est écrit à la 1° personne, très prenant, très angoissant. A la fin de la lecture (que j'ai bouclé en 4 jours), on a encore cette ambiance en nous. Le genre de bouquin qu'on a du mal à poser, qu'on n'oublie pas dès le lendemain.

Actuellement, je lis la suite du "Mec de la tombe d'à côté". Sympa comme le 1er, mais on tombe plus dans les clichés de la citadine qui s'adapte à la vie à la ferme. Pour moi, le 2nd n'apporte rien de plus.