Le "je te bave, tu me baves", effectivement, ça n'est pas correct.

Par ailleurs, la directrice n'est pas le supérieur hiérarchique des enseignants de l'école.
C'est l'inspecteur qui l'est.

Là, on a une gamine dont le saut de classe a été décidé... hier soir, parce qu'on a modifié la structure de l'école pour l'an prochain.
En effet, son instit n'était pas chaude du tout pour la mettre en CE2, mais en CE1-CE2 pour la laisser avec des enfants de son âge tout en suivant le niveau du dessus lui paraissait le mieux.
La directrice n'a rien dit que de prier l'instit de CP de se taper la paperasse, point barre.
Elle lui fait confiance et ... nous (l'équipe) aussi.

Effectivement, les enfants calmes sont souvent oubliés hélas. Les bilans trimestriels sont un moment privilégié pour faire le point à leur sujet.
J'ai chaque année des élèves qui n'ont absolument pas besoin de moi et seraient mieux au collège de part leurs capacités et leur maturité affective (cette année, 3 sur 28, sans compter de très bons mais encore bien dans le cocon du 1aire, pour la sécurité affective). Mais comme ils ne bougeaient pas, les instits de CM1 ne se sont pas posé de question.  Chaque année, je demande si les CM1 ont vraiment tous besoin d'un CM2  . Les enfants de mes collègues grandissent, lorsqu'enfin ils seront entrés au collège et qu'elles se rendront compte des enjeux pour eux, la situation se débloquera!

Pas exactement.

La seule et unique prérogative de la directrice est de répartir les effectifs et les moyens après avoir pris l'avis du conseil des maître.
En traduction: elle dit quels élèves vont dans quelle classe, et elle dit à qui elle attribue les différentes classes. Et si son point de vue n'est pas celui du conseil des maîtres, ce n'est pas grave, il faudra juste qu'elle vive l'année scolaire avec l'équipe à dos [ à tort ou à raison!] .

Dans le cas présent, si elle ne veut pas de M. dans le CE2, elle peut puisque la décision de saut n'est pas officielle. Mais une fois qu'elle l'est, elle n'a plus le choix. Or cette décision revient au ... conseil des maîtres. 

Oui et aussi bien, elle accuse à tort sa collegue directrice en lui faisant porter la responsabilité de la décision .

ça paraît juste être un grand cafouillage tout ça
tant que ton fiston profite pleinement de ses vacances, et que vous puissiez aborder la rentrée en toute sérénité quand elle arrivera...

je pense que la (jeune) directrice, étant sur le départ, ne veut pas lancer qqch dont elle ne verra pas l'aboutissement, et ne pas non plus laisser une situation trop tarabiscornue à son successeur, donc le plus simple pour elle, c'est de laisser ton fiston passer sur un CE2 classique, et de laisser la "nouvelle équipe" décider de l'avenir en septembre

on va dire que c'était pour signaler le jeune dans la fonction
(honnêtement, j'ai dû zappé l'info mais bon, 3 semaines d'otite en plus du SNU, j'ai le droit d'avoir des neurones en moins, non? )
 

Il faut prendre un RDV par enfant, dans tous les cas. Visite des 2 ans, ou pas.

C'est au médecin de définir la durée de ses consultations.
La pédiatre de mes enfants compte 30 minutes par enfant.

C'est hélas une acrobatie d'emploi du temps quasi incontournable  .
Il n'y a rien qui permet d'avoir un de tes enfants "scotché" pendant 20 minutes? (livre, écran...)

Ça me rappelle la visite des 2 ans avec mes grandes.
J'étais seule avec les deux, le pédiatre me demande d'en laisser une (seule ! ) dans la salle d'attente pendant la consultation de l'autre...  J'ai refusé et toutes les 2 ont été parfaitement calmes pendant le rdv. Il en était tout étonné ce brave pédiatre... 

J'ai changé de pédiatre. 

C'est vrai que le souci de ces rdv "bilan", c'est qu'ils durent un petit moment et qu'ils doivent se faire dans le calme (pour le dépistage auditif notamment).

Le pédiatre de mes enfants prend également 30 minutes/enfant.