Les angoisses de fiston, la suite...
Au début de l'été, les angoisses sont revenues au coucher, presque en rituel, tous les soirs.
J'ai réussi à la convaincre d'aller consulter ma copine psychologue clinicienne. Il m'a dit non plusieurs fois et a fini par m'avouer la riaosn de son refus "je ne sais pas quoi lui dire"
J'ai pu lui faire comprendre que ce n'était pas à lui à vider son sac mais elle qui le questionnerait pour réussir à comprendre.
Ainsi donc, une séance a suffi (pour l'instant). Elle ne décèle aucun traumatisme présent (peut être dans l'inconscient), l'angoisse n'est reliée à rien de rationnel. Aller chercher dans son inconscient (par hypnose ça marche très bien, j'ai testé personnellement) une éventuelle origine à ses angoisses ne serait pas forcément bénéfique et certainement très perturbant pour lui. Faire rejaillir une expérience douloureuse (du moins vécue comme douloureuse par la personne) chez un enfant, ça peut faire l'effet d'une bombe. Ca peut nous péter à la figure... Je l'ai vécu en tant qu'adulte, c'est très fort et très déstabilisant mais j'ai pu avoir le recul face à cela, lié à mon âge.
Pour elle, pas la peine de chercher puisque rien ne parle. Plutôt que de soigner la cause (qu'on ignore et si cause il y a), aidons le à gérer les conséquences. Elle lui a donc "simplement" donné des techniques pour éloigner son angoisse quand elle arrive. Depuis, touchons du bois, il gère seul.
Tout cela peut avoir un lien avec sa personnalité bien sûr.