je ne sais pas si ca va l'interesser en fait, c'est quand meme un peu chiant a lire. je l'ai lu et j'adhere a sa theorie, mais ce n'est pas super accrocheur dans le texte je trouve pour quelqu'un qui ne serait pas sensible a ce mode d'education. En gros, j'ai bien peur que ton homme ne le lise pas...
+1. Je lui prendrais aussi plutôt "j'ai tout essayé", le style est plus agréable à lire, ça passe tout seul, pour Gordon, faut quand même être sacrément motivé!!

Dans tous les cas, je pense qu'il vaut mieux lui proposer un livre que tu as déjà lu avant (pour qu'il y ait plus de chance qu'il accroche, mais aussi pour être sûre que la méthode vous convient bien, sinon ça ne sert à rien -et il ne retentera sûrement pas une seconde fois!!

), ou alors le lire ensemble.

Sinon ici, le problème est un peu différent: on a les mêmes idées, la même façon d'envisager l'éducation de nos enfants, mais dans la pratique, c'est autre chose...

Quand on en parle, on est toujours d'accord sur ce qu'il faudrait faire, mais dans le feu de l'action, il n'a aucune patience. Bon, il fait beaucoup d'efforts, je le vois, et ça évolue, mais ça reste difficile par moment, parce que j'ai l'impression d'essayer de prendre un maximum sur moi pour régler les choses en douceur, et que derrière, la plupart du temps, lui n'arrive pas à garder son calme... (ce qui "annule" les efforts que je fais de mon côté...

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Mais bon, ça va de mieux en mieux...
Ceci dit, c'est difficile, il n'a vraiment pas eu de bons exemples en la matière (enfance très violente...), donc même s'il souhaite plus que tout ne pas reproduire ce qu'il a vécu, il n'a juste jamais appris à dialoguer calmement face aux conflits, il est donc vite submergé, et en colère.
Mais on a tous nos valises, nos exemples, ce qu'on veut faire, ce qu'on ne veut pas faire, et ce n'est pas toujours évident de réussir à faire cohabiter ça pour le bien de nos enfants.
La clé est sans aucun doute d'en parler le plus possible, si on peut.
Et aussi d'essayer de prendre sur soi par moment, parce que je trouve qu'on est toujours moins tolérant avec l'autre qu'avec soi-même... (parce que quand l'autre ne réagit pas de la bonne façon, nous, de l'extérieur, on a le recul pour l'analyser, alors que quand on a le nez dedans, on est pas toujours mieux...

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