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goy
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« Répondre #15 le: 09 Novembre 2006 à 15:52:15 »

bonjour tyloup,
je suis dans la même situation que toi, nous avons eu un petit garçon hugo en janvier 2001 et en décembre 2002 nous avons décidé de lui donner une petite soeur ou un petit frère, mon premier accouchement s'étant mal passé, je ne voulais plus d'enfants, mais mon mari m'a convaincu de tenter un petit frère ou petite soeur à hugo, à mon deuxième mois de grossesse, j'étais très fatigué et me sentais pas bien du tout, je faisais de longues journées de travail, j'ai donc consulté et là à notre grande surprise nous avons appris la nouvelle, vous attendez des jumeaux ! la surprise totale, nous n'avons pas de jumeaux dans notre famille. J'ai eu beaucoup de mal à accepter au début, j'ai beaucoup pleuré, j'avais très peur de cette grossesse gémellaire, les médecins nous ont rassuré, j'ai passé de longues nuits blanches à me poser des tas de questions, j'ai arrêté mon travail à 3 mois de grossesse et je suis resté à la maison avec surveillance médicale à domicile. J'ai accouché par voie basse  sans problème mieux que pour hugo de deux petits garçons à 36 semaines et maintenant nous formons une grande et belle famille que je n'aurais pas imaginé ! la vie est ainsi !
bonne continuation
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Corinne
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« Répondre #16 le: 09 Novembre 2006 à 18:27:46 »

Bonjour,

Pour nous non plus, ce n'était pas une nouvelle attendue ! Je revois encore la tête de mon zhom lorsque le gynéco a dit : "bon, y'en a deux ...", la bouche ouverte, la main qui se plaque, tout du poisson fraîchement sorti de son milieu naturel. Et moi : "vous êtes sûr ? vous pouvez recompter ?" et le gynéco qui croyait que j'étais motivée par la crainte de triplés, j'étais bien loin de penser à ce cas de figure !!!

A partir de là, nous avons pu étudier les différences de comportement homme-femme face à l'adversité : mon chéri uniquement préoccupé par les problèmes matériels et moi, déjà maman de jumeaux dans ma tête au bout de trois jours.

Mon souci majeur était de savoir comment je devrais m'y prendre avec ma fille, qui aurait 5 ans à la naissance de ses frère et soeur. J'avoue que le fait de contacter l'association Jumeaux et plus de mon département a beaucoup aidé : je me suis sentie  comprise et guidée par des parents qui avaient déjà vécu tout cela, qui avaient des lectures à proposer etc. Il s'est avéré que le fait d'être déjà parent pouvait se révéler une force plutôt qu'un handicap.

Le plus drôle, c'est que mon beau-père a lui même une soeur jumelle (et là, des jumeaux fraternels, cela vient de moi, pas de mon chéri) et que sa soeur a été également grand-mère de jumeaux garçon-fille la même année. Il y a des hasards qui ne s'expliquent pas !

Je dirais en conclusion que de nombreuses familles vivent cette situation tous les ans, et que globalement, les parents de multiples s'en sortent bien. Il faut se faire confiance et se reposer dès que la chose est possible. Le mot de la fin à mon échographiste, elle-même maman de jumelles : " Au début, c'est un peu difficile, mais ensuite, avoir des jumeaux est une vraie chance !".
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Corinne Brangé, Administratrice Fédérale
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passchier
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« Répondre #17 le: 11 Novembre 2006 à 15:54:42 »

En ce qui nous concerne ça a été une surprise totale !
Nous n'avons pas encore d'enfants et 6 mois après une fausse couche, nous avons appris avec beaucoup de bonheur pour cette nouvelle grossesse que c'était des jumeaux  . Ma femme a appris la nouvelle lors d'une écographie à deux mois de grossesse, avant un départ en vacances.
Son premier sentiment a été d'entrer dans un monde irréel bercé d'une douce euphorie  Clin d'oeil. Lorsqu'elle m'a expliqué au téléphone que tout allait bien puis m'a demandé de m'assoir, j'ai tout de suite compris ...  J'ai éprouvé le sentiment de vivre quelque chose d'extraordinaire et d'inattendu. D'autant plus que nous n'avions pas connaissance de cas de grossesse gémellaire dans nos familles respectives...
En fait nous avons toujours voulu une famille nombreuse et à trente ans avec nos métiers respectifs, nous étions pressés par le temps donc c'est une bonne mise en route...
Aujourd'hui nous savons que ce sont de vrais jumeaux, des garçons.
Curieusement, ma femme avait regardé avec interêt un reportage dans Les maternelles sur le sujet avant même d'être enceinte !!
Aujourd'hui, à 4 mois de grossesse, nous commencons à nous préparer à leur arrivée et à l'organisation que cela va demander... Tire la langue
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Corinne
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« Répondre #18 le: 12 Novembre 2006 à 10:04:38 »

Aaaah,  un témoignage de futur papa de jumeaux! C'est vraiment super ... Clin d'oeil

Pour vous aider pour la suite, je vous donnerais quelques conseils :
  • - rejoindre l'association Jumeaux et plus la plus proche de chez vous  (forcément ...) si ce n'est déjà fait
    - pousser votre compagne à se reposer chaque fois qu'elle le peut
    - ne pas culpabiliser à vous faire aider : parents, amis, voisins, travailleuse familiale ... vouloir tout réussir tout seul pour être un parent parfait conduit bien souvent à la dépression nerveuse ! Et là, on est moins efficace, quand même ... Clin d'oeil
    - vous préparer à devenir les stars de votre quartier et au delà, et à encaisser des réflexions stupides et lieux communs barbants, mais aussi à faire de gentilles rencontres imprévues, comme des jumelles de 70 ans qui viennent vous raconter leur expérience (ça m'est arrivé au supermarché il y a deux ans, et cette rencontre m'illumine encore)
    - enfin, apprendre tout de suite le bon vocabulaire des jumeaux : jumeaux signifie "né le même jour" donc, pas de vrais ou de faux, SVP ! C'est très agaçant, au bout de quelques mois ... vous verrez. Les termes corrects existants (oui oui, ils existent !) sont "jumeaux identiques" ou "monozygotes" et jumeaux "fraternels" ou "dizygotes".
Bon, yapluka partir acheter deux lits, un sac langeur ... deux trois autre choses et c'est parti !!!!!

A bientôt de recueilir vos impressions de papa ? @++ Corinne
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Corinne Brangé, Administratrice Fédérale
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CHANTAL
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« Répondre #19 le: 12 Novembre 2006 à 19:36:01 »

Bonjour
Je suis maman d'une fille de 9 ans et j'ai également des faux jumeaux.
C'est vrai que lorsqu' on m'avait annoncé la nouvelle j'ai été choquée, mon conjoint lui était heureux.
J'étais tellement pas bien que ma grossesse était épouvantable pour moi. Je vous raconte pas les détails ça n'est pas la peine. Roulement des yeux
Jusqu'au jour de mon accouchement qui a été très rapide (j'ai accouché 2 mois avant terme), j'adore mes enfants, mes trois enfants. Je suis la plus heureuse des mamans. Et évidemment je n'oublie pas le père des enfants qui a maintenent une charge de travail à la maison...disont le.
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maman d'alexia 9 ans, sonia et gaël 10 mois
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« Répondre #20 le: 13 Novembre 2006 à 16:50:05 »

Bonjour,
je suis petite nouvelle sur le forum parce que cette nouvelle de jumeaux post-fiv, je l'ai eu... vendredi 10 novembre, il y a 3 jours !  Je l'ai su en échographie de contrôle d'hyperstimulation et j'ai fondu en larmes... de bonheur ! J'ai appelé mon compagnon toujours en pleurant et depuis il se trimballe avec un sourire de benêt ! Nous sommes très heureux mais curieusement ce sont les réactions des autres qui sont inquiètes, voire négatives : "ouh la la comment vous allez faire ?", alors que pour nous, c'est un cadeau ! Pour l'organisation, on verra bien plus tard, et puis il y a les asso !!!
Petite question : est-ce-que parmi vous il y a des femmes qui ont fait une hyperstim immédiatement après la  nidation ? J'en ai un peu marre, plus de deux semaines maintenant que je suis au repos forcé, couchée presque toute la journée. Est-ce que c'est arrivé à certaines d'entre vous ?
A +
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CHANTAL
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« Répondre #21 le: 13 Novembre 2006 à 17:45:44 »

! J'ai appelé mon compagnon toujours en pleurant et depuis il se trimballe avec un sourire de benêt ! 
Petite question : est-ce-que parmi vous il y a des femmes qui ont fait une hyperstim immédiatement après la  nidation ? J'en ai un peu marre, plus de deux semaines maintenant que je suis au repos forcé, couchée presque toute la journée. Est-ce que c'est arrivé à certaines d'entre vous ?
Hyperstim immédiate je n'sais pas, dans tous les cas dès les 1er jours j'ai eu des vomissements, des crampes au jambe donc évidemment j'ai connu les repos forcés.
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maman d'alexia 9 ans, sonia et gaël 10 mois
prévost
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« Répondre #22 le: 20 Novembre 2006 à 11:28:43 »

bonjour a toutes j'attends des jumeaux pour mai 2007
nous avons eu de la chance que dès l'arrêt de la pilule je sois enceinte. le premier mois a était très mouvementais car voyage de noce, déménagement dans une autre région avec pas mal de souci et donc quand j'ai passé ma premier écho j'étais très angoissé j'avais un mauvais pressentiment. arrive le jour de l'écho, le gygy commence a passé l'appareil on voit un petit bout apparaître et je vois une trace noir a coté, je stressais, je n'arrivais pas a parlé. mon homme en admiration devant notre petit bout' moi je n'y arrivais pas. jusqu'au moment ou le gygy nous dit "surprise il y en a 2" et la un soulagement terrible pour moi surtout qu'ils vont bien et mon homme qui rigolait impossible de s'arrêter. on est super heureux. mon beau père nous avait dit quand on avait annoncé qu'on allait essaye de faire un bébé que si on essayé dès l'arrêt de la pilule j'aurais des jumeaux on c'est moqué de lui et la c'est lui qui rigole bien maintenant.
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chaperon rouge
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« Répondre #23 le: 21 Novembre 2006 à 11:22:16 »

Je suis enceinte de 4 mois de jumeaux, suite à une AMP, nous avons été plus que prépare par les services médicaux qui nous suivent à cette possibilité.

Lors de la proposition par notre médecin de refaire une tentative. Nous avons eu une grande discussion avec mon époux. il en est ressortit ce point " jusqu'à 3 c'est acceptable !  ". En effet les médecins nous ont proposé de stopper le traitement car j'ai trop réagit au traitement. Les risques de grossesses multiples étaient très important.
Lorsque nous avons appris ma grossesse nous étions sur un vrai nuage, après tous ces efforts !

Nous n'avions rien dit  à notre entourage sur ce nouvel essai, donc cela a été la surprise générale.
Tout le monde me savait malade mais nous n'avions pas dit pourquoi.
Mes parents rentraient de vacances à l'autre bout de la planète. je les appellais pur avoir de leurs nouvelles et je leur est dit tout simplement " je viens de faire un test de grossesse et il est positif" Y a eu un blanc de qq secondes. et un pardon mais tu est sure ?

Et après 5 semaines nous avons fait la premier écho, un samedi matin tous les 2, nous étions tout zen, on était encore en phase je flotte.

Notre première question à l'échographie a été " combien ? " nous avions très peur de devoir passer par une réduction. et lorsqu'il a dit "je vois un deuxième sac " nous avons répondu " et pas d'autre ? " il a confirmé non que 2 sacs. je crois qu'il avait rarement vu des gens aussi zen qui apprenaient ce genre de chose.

L'annonce à la famille a  été aussi très cool, on a dit y a 2 coeurs.

Et tout le monde est heureux,
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« Répondre #24 le: 21 Novembre 2006 à 12:43:12 »

Merci pour ce très joli témoignage.

Vous apportez la preuve que les associations et organismes qui aident les parents dans leurs démarches d'assistance à la procréation ont une grande responsabilité vis à vis de ceux qui se font aider, que ce soit au niveau de la procréation elle-même mais aussi à celui de la prise en charge pratique et émotionnelle par la suite.

Chez nous, pas d'AMP, mais une autre façon d'annoncer la nouvelle : notre fille aînée étant gardée par ses grand-parents pendant l'échographie, nous lui avons fait voir les "photos" en lui disant : "Tiens, on te présente ton petit frère ou ta petite soeur de droite et ton petit frère ou ta petite soeur de gauche". Je ne vous pas pas la tête de ma belle-mère 
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Corinne Brangé, Administratrice Fédérale
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« Répondre #25 le: 21 Novembre 2006 à 15:35:48 »

hélas les asso et les psy n'ont jamais été à la hauteur de nos souffrances
mais nous avons un médecin très bien et un généraliste plus qu'à la hauteur.
« Dernière édition: 21 Novembre 2006 à 16:00:26 par chaperon rouge » Journalisée

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« Répondre #26 le: 21 Novembre 2006 à 20:35:35 »

Il est vrai que les praticiens et autre personnel soignant en général ne sont pas vraiment formés à l'écoute. Et c'est bien dommage. Même si notre expérience est moins douloureuse que d'autes, on a le droit d'être entendus dans notre ressenti au moment où on vit cette expérience. Et ce n'est pas parce que le voisin a une jambe cassée que j'ai moins mal à mon entorse ...

Vivement qu'on apprenne à nos soignants à se présenter, à nous écouter et à nous parler dans un langage compréhensible par tous. A se comporter humainement face à d'autres êtres humains, quoi ! Et pas en carossiers devant une machine défaillante.

Enfin, certains soignants sont équipés de ce sens humain en série dès la naissance et c'est tant mieux !  Il faut quand même le reconnaître aussi : certains ont encore la vocation ....
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Garatefess


« Répondre #27 le: 21 Novembre 2006 à 22:46:48 »

La réponse du berger à la bergère...

Le personnel soignant est formé à l'écoute. Seulement certains sont sourds, d'autres oublient bien vite et comme partout ailleurs, il y a un pourcentage d'imbéciles.
Je suis infirmière. J'ai effectué ma formation il y a 17 ans. Nous étions déjà très très très sensibilisés à l'écoute, tout autant qu'à la technique.
Je ne pense pas que ce soit de l'inné chez certains. Je parlerai plus de conscience professionnelle, de plaisir dans le travail, d'ouverture d'esprit, etc..

De l'autre côté du miroir, je crois qu'il faut aussi considérer le personnel soignant comme des êtres humains ordinaires, qui ne détient aucun pouvoir, aucune magie. Il ne faut pas hésiter à leur dire: stop vous êtes hors sujet, stop décodez moi SVP, stop là moi j'ai mal, je ne comprends pas, pouvez-vous réexpliquer.
Je pense que si certains se placent sur un piédestal c'est aussi parce que leurs patients les y admirent.
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Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait.  Mark Twain
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« Répondre #28 le: 21 Novembre 2006 à 23:38:42 »

C'est intéressant ce retour d'une professionnelle. Il est vrai que l'on a tendance à se laisser guider par les "blouses blanches", il y avait eu des expériences en ce sens dans les années 70 je crois.

Pour ma part, j'avoue avoir pas mal pratiqué l'hôpital pour ma grande ; j'y ai rencontré toutes sortes de médecins et infirmières ou aides soignantes, certains rassurant et d'autres me privant complètement de mon implication de parent. Je me revois encore pleurant dans un couloir alors que ma fille hurlait derrière la porte. Plus jamais ça !

Ou alors un interne est venue m'examiner à la mater, sans dire bonjour ni se présenter, j'ai eu la sensation d'être une pièce de viande. Pas très agréable.

A côté de cela, j'ai eu des contacts avec des gens formidables qui m'ont redonné espoir.

Et j'ai aussi plusieurs amies qui travaillent en milieu hospitalier et qui témoignent du manque de respect de certains de leurs patients ...
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Corinne Brangé, Administratrice Fédérale
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caro
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30 mois


« Répondre #29 le: 25 Novembre 2006 à 17:53:01 »

bonjour, je suis nouvelle sur le site. Mes enfants des jumeaux garcons ont deux ans et comme le disent certaines et certains ce fut une grande surprise d'apprendre qu'ils étaient deux mais aprés plus de deux ans d'attente et 2 FIV ISCI quel bonheur.
Je les appris a la prise de sang, la secretaire de l' AMP me dit vu le taux sanguins vous avez de grande chance d'attendre des jumeaux, passés le "choc" de l'annonce nous étions trés heureux mon mari et moi car tous ces mois d'attentes et de traitements étaient recompensés.
j'ai accouché a 38 SA par voie basse et une grossesse trés facile meme si j'ai du arreter de travailler des la confirmation echographique de la grossesse gemelaire;
je suis infirmiére depuis 8 ans et je voudrais aussi confirmer ce que dit "peti lili" etre a l'ecoute des gens c'est pas toujours facile car du moment qu'on porte notre blouse blanche et meme aprés, les patients et leurs familles croient qu'on detient la verité mais on est des etres humains comme les autres avec des connaissances en plus dans le domaine de la santé.
Ce que je trouve le plus difficile quant on doit etre hospitalisé c'est d'avoir a faire a des personnes qui vous dise de faire quelque chose sans prendre en compte vos retissences ou questions.
J'ai eu le probléme avec une auxilliaire de puericulture qui voulait absoluement que je tire mon lait pour un de mes fils qui ne pourrait selon elle pas teter tous seul. Je l'ai fait mais cela ma fait trés mal je lui dit et elle ma repondu que de toute facon l'allaitement cela faisait mal et lui ai alors repondu que je donnait le sein à mon autre bebe sans douleur et selon elle c'est qu'il se nourrissait mal. Que voulez vous repondre a des gens comme ca je n'ai pas repondu et attendu la personne suivante qui fut mon gynéco et lui m'a dit d'essayer de l'allaiter ce que j'ai fait et sans aucun probleme.

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