moi quand j'étais à l'hosto l'an dernier, j'avais pas le droit de toucher mon ventre pour ne pas stimuler l'utérus et donc provoquer des contractions.
nous à midi c'est purée de patates potimarron (d'hier) et cotes d'agneau hum !
merci nat t chou j'attends avec impatience alors ;-)

Si ces congés sont imposés, il doit avoir des jours de fractionnement (avec accord employeur) et peut-être des rtt.... à voir.

Ensuite son employeur NE PEUT PAS REFUSER sa demande de congé parental.... ton homme l'informe en temps et heure chaque année, et c'est tout...

Alors ce qu'il faut savoir...

Le postulat de départ c'est que tu n'as des droits que si tu les as "ouverts" en répondant à certaines conditions, comme un volume d'heures travaillées, pendant la période X qui précède l'évènement (arrêt de travail, maternité, etc.). ça permet de donner des droits à des gens qui n'en avait pas au départ, mais on fait le nécessaire comme par exemple la jeune qui commence à travailler, n'a jamais cotisé et tombe enceinte... elle travaille jusque ses 7 mois de grossesse, et elle aura un congé mater indemnisé.


Les conditions d'ouverture de droit pour un congé parental sont : (vus sur le site de la CAF) :
Les conditions

Vous devez :

    * avoir au moins un enfant de moins de 3 ans né après le 1er janvier 2004, ou avoir adopté ou recueilli en vue d'adoption un enfant depuis cette date
    * avoir cessé de travailler ou travailler à temps partiel
    * et justifier d'au moins huit trimestres de cotisations vieillesse (en continu ou non) validés au titres d'une activité professionnelle :
          o pour un premier enfant, dans les 2 années qui précèdent la naissance, l'adoption ou l'accueil de l'enfant ouvrant droit au complément de libre choix d'activité
          o pour 2 enfants, dans les 4 années qui précèdent :
                + la naissance, l'adoption ou l'accueil de l'enfant ouvrant droit au complément de libre choix d'activité
                + la cessation ou la réduction d'activité si elle est postérieure à la naissance, l'adoption ou l'accueil de cet enfant.
          o pour 3 enfants ou plus, dans les 5 années qui précèdent :
                + la naissance, l'adoption ou l'accueil de l'enfant ouvrant droit au complément de libre choix d'activité
                + la cessation ou la réduction d'activité si elle est postérieure à la naissance, l'adoption ou l'accueil de cet enfant.

Vous ne devez pas recevoir :

    * le complément optionnel de libre choix d'activité
    * une pension d'invalidité, de retraite
    * des indemnités journalières maladie, maternité, paternité ou d'accident du travail
    * une allocation de chômage
    * de congés payés
    * etc.

Pour le cumul, indemnité mater et congé parental... repose la question à la CAF pour avoir deux fois la même réponse, mais ça me semble cohérent (pas de congé mater et de congé parental en même temps).

L'idée de départ c'est que ces les dames qui prennent ce type de congé, pour les messieurs, c'est trop moderne !

Et bien ça n'a pas l'air simple vos histoire admin, mais vous avez bien de la chance d'avoir des congé maternel si long et des conges parental en plus et pour vos mari! Car chez nous (petite Suisse) le congeé mat est de 4 mois des la naissance et rien de plus et les papa ont entre 2 et 5 jours selon l'employeur donc mon homme bosse comme un dingue pour accumuler heure supp et n'as pas pris de vacance depuis mai pour pouvoir prendre 3 semaine après mon accouchement.

Et si on veut plus de congé et bien on démissionne !! Pas très familliale comme politique tout ça!!

Congé sans solde (voir fiche sur le site du ministère du travail) :

 Synthèse

Le congé sans solde n’est pas réglementé : aucune condition ni procédure ne sont imposées pour en bénéficier. Son organisation et sa durée sont définies de gré à gré entre le salarié et l’employeur. Celui-ci est libre de l’accepter ou de le refuser. Un salarié peut demander un congé sans solde pour divers motifs. Si sa demande est acceptée, il ne sera pas rémunéré, sauf à utiliser son compte épargne-temps. De même, la durée de son absence ne sera pas prise en compte pour le calcul des droits qu’il tient de son ancienneté, pour les congés payés…
A savoir

La convention ou l’accord collectif applicable à l’entreprise peut prévoir des dispositions concernant le congé sans solde ou créer un « congé maison ». A consulter donc avant d’organiser le congé.
Sommaire

    * Quelles sont les caractéristiques ?
    * Quelle est la procédure ?

Fiche détaillée

Quelles sont les caractéristiques ?

Par définition, le congé sans solde est un congé pour convenance personnelle : le salarié est totalement libre de l’utiliser à des fins personnelles (faire du sport, un voyage, s’occuper de ses enfants, …) ou professionnelles (créer une entreprise, exercer une autre activité professionnelle,…).

Si le congé sans solde permet, en principe, au salarié de travailler pour un autre employeur, celui-ci doit préalablement vérifier son contrat de travail. Si une clause de non-concurrence ou d’exclusivité y figure, il risque une sanction voire un licenciement en ne s’y conformant pas. Même en l’absence de clause, le salarié reste tenu par une obligation de loyauté envers son employeur.

Toutefois, compte tenu de l’absence de réglementation concernant ce congé (et donc de garanties tant pour l’employeur que pour le salarié), il peut être plus intéressant d’opter pour un congé organisé par le code du travail et dont l’objectif correspondant au projet du salarié, tel :

    * le congé sabbatique,
    * le congé ou temps partiel pour création d’entreprise,
    * les congés de formation,
    * le congé parental d’éducation,
    * le congé de solidarité familiale,…

Quelle est la procédure ?

Le congé sans solde n’étant pas prévu par le code du travail, aucune précision particulière concernant la procédure n’est donnée. Afin de prévenir tout litige, le principe du congé, sa durée, les conditions de retour dans l’entreprise… doivent faire l’objet d’un accord écrit entre l’employeur et le salarié. Il convient également de se reporter à la convention collective applicable à l’entreprise qui peut prévoir des dispositions à ce sujet.

La rémunération du salarié n’est pas maintenue pendant un congé sans solde. Le salarié peut toutefois utiliser les droits acquis sur son compte épargne-temps pour « financer » ce congé.


Enfin, je rajouterais que s'il est en congé sans solde , il doit solder avant tous les congés acquis ou se les faire payer au terme de la période, fin mai donc sur la paye de juin.

Marrion, pour finir... si l'employeur n'est pas de bonnes volontés, il faut envisager une demande de licenciement amiable.

a court terme c'est le plus rentable !

oh je ferai pareil si j'étais à votre place!!!!

C'est pour ça que je parle bien de court terme.

Ton schéma dépend pour bcp de la bonne volonté du chef quand même... J'espère que vous avez de bonnes relations avec lui.

Après pour le temps partiel, ça vaut le coup financièrement quand même. Si vous pouvez envisager qu'il bosse genre 3 jours par semaine à temps "plein", ça vous fait un 60% et ça vous évitera d'être trop juste financièrement.

En tout cas, sache que c'est ajustable en cours de route si tu optes pour une solution qui financièrement ne vous permet pas de faire face par la suite.